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Les personnes de plus de 40 ans ne doivent pas travailler plus de 3 jours par semaine, selon cette étude

La réduction du temps de travail hebdomadaire est un sujet brûlant qui attire l’attention tant des entreprises que du gouvernement.

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Récemment, la Belgique a expérimenté la semaine de quatre jours, une initiative qui suscite l’intérêt en France. Parallèlement, une étude révolutionnaire indique que pour les plus de 40 ans, une semaine de travail ne devrait pas excéder trois jours pour maintenir une efficacité optimale.

Un pas vers la semaine de trois jours ?

L’engouement pour la semaine de quatre jours pourrait bien évoluer vers une approche encore plus radicale. Selon les recherches du Professeur Colin McKenzie de l’Université Keio au Japon, publiées dans la série de documents de travail du Melbourne Institute, il serait bénéfique pour les travailleurs de plus de 40 ans de limiter leur semaine de travail à trois jours. Cette recommandation s’appuie sur des tests cognitifs menés par les Universités de Melbourne et Keio, impliquant plus de 6 500 Australiens qui ont montré une baisse de performance au-delà de 30 heures de travail par semaine.

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Pourquoi réduire les heures de travail ?

L’étude met en lumière que les capacités cognitives déclinent avec l’âge et qu’un temps de travail réduit pourrait non seulement améliorer l’efficacité mais aussi préserver la santé mentale des seniors. Les tests ont révélé une capacité de concentration optimale pour des périodes de 30 à 35 heures par semaine; au-delà, les performances chutaient significativement.

Implications pour le marché du travail

Le Professeur McKenzie explique que travailler peut stimuler l’activité cérébrale, mais des journées trop longues peuvent également induire fatigue et stress, nuisant potentiellement aux fonctions cognitives. Il propose donc le travail à temps partiel comme une stratégie potentiellement avantageuse pour les travailleurs avançant en âge, soulignant l’importance de trouver un équilibre qui maintienne l’engagement sans compromettre la santé cognitive.

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Cette étude pourrait inciter à repenser les modèles de travail, surtout à une époque où la qualité de vie au travail devient un critère de plus en plus valorisé tant par les salariés que par les employeurs. Si cette tendance se confirme, elle pourrait marquer un tournant significatif dans la gestion des carrières et la planification des ressources humaines, particulièrement pour les travailleurs âgés de 40 ans et plus.

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