Kelly Vedovelli, bien connue pour ses débuts remarqués sur le plateau du Canal Football Club et dans le clip « Bella » de Maître Gims, a rapidement gravi les échelons jusqu’à devenir une figure marquante de « Touche pas à mon poste » (TPMP).

Recrutée initialement comme DJ, elle a su gagner la confiance de Cyril Hanouna et s’est vue offrir une place de choix parmi les chroniqueurs de ce talk-show phare de C8.

Ascension et rémunération

Kelly Vedovelli n’est pas seulement appréciée pour son charisme ; elle est aussi l’une des chroniqueuses les mieux payées de l’émission. Selon des informations récentes de Mediapart, elle bénéficierait du contrat le plus lucratif parmi ses pairs, avec un salaire mensuel de 16.000 euros via sa société, indépendamment de sa fréquence de participation à l’émission.

Des revenus questionnés

Toutefois, la situation se complique lorsqu’on découvre que Kelly Vedovelli aurait également touché 3.000 euros supplémentaires par mois en 2024 pour des interventions supposées dans l’émission PAF, un autre programme de C8 qu’elle n’a en réalité jamais fréquenté. Cette révélation soulève des interrogations sur la nature réelle de ses engagements et évoque la possibilité d’un emploi fictif, comme le suggèrent certains témoignages internes.

Les implications pour TPMP

La défense de TPMP et de Cyril Hanouna, orchestrée par l’avocat Stéphane Hasbanian, souligne que l’animateur n’aurait pas de rôle direct dans la négociation des contrats. Ils ajoutent que les contrats peuvent inclure différentes émissions à titre indicatif pour maintenir une flexibilité éditoriale.

Coûts et bénéfices de l’émission

L’impact financier de TPMP sur C8 est significatif : chaque épisode est vendu pour 125.000 euros, alors que le coût de production est estimé à 80.000 euros. Les révélations sur les salaires des chroniqueurs, oscillant entre 12.000 et 13.000 euros par émission, illustrent la répartition des dépenses au sein de la production, ne représentant que 15% du coût total.