Emmanuel Macron : cette polémique qui n’a pas plu à Brigitte, « C’est trop tard »
Emmanuel Macron, à la tête de l’État français depuis huit ans, connaît bien le poids de chaque mot prononcé en public.
Sa gaffe lors des journées du patrimoine en 2018 en est un exemple marquant, une phrase malheureuse qui a continué de le suivre bien après.
La gaffe qui a marqué le mandat de Macron
En 2018, face à un jeune chômeur, Emmanuel Macron a laissé échapper une remarque qui lui a valu de nombreuses critiques : « Je traverse la rue, du travail je vous en trouve ». Ce commentaire, fait en réponse aux difficultés exprimées par le jeune homme, a été perçu comme déconnecté et insensible. Brigitte Macron a révélé plus tard que cette phrase avait été inspirée par un restaurateur la veille, ce qui n’a pas empêché qu’elle soit mal reçue par le public et par la Première dame elle-même.
Réaction de Brigitte Macron
Brigitte Macron, souvent vue comme un pilier de modération pour le président, n’a pas tardé à exprimer son désaccord avec la manière dont cette phrase avait été utilisée. Dans une intervention sur TF1, elle a souligné le contexte inapproprié de cette remarque, faite dans l’enceinte de l’Élysée, et les implications qu’une telle déclaration pouvait avoir sur l’image du président.
Leçon apprise et prudence renouvelée
Apparemment marqué par cet incident, Emmanuel Macron a montré des signes de prudence lors d’interactions similaires par la suite. Lors d’un déplacement dans le nord de la France, confronté de nouveau à la détresse d’un chômeur, il a choisi de faire allusion à cette gaffe passée de manière humoristique, soulignant qu’il avait appris de ses erreurs précédentes.
La défense contre les accusations d’arrogance
Malgré les critiques, Brigitte Macron a défendu la posture de son mari, attribuant son assurance à une profonde connaissance des sujets abordés, tout en reconnaissant que la forme de ses communications pouvait parfois prêter à confusion. Cette défense illustre la complexité de la communication présidentielle, où le fond et la forme doivent constamment être équilibrés pour éviter les malentendus et les répercussions politiques.
