Ce samedi 1er mars, une atmosphère particulière régnait sur le plateau de « Quelle époque ! ». Christophe Dechavanne, accompagné de Léa Salamé, a entamé l’émission par une annonce grave : son départ du programme.

Ce retrait fait suite à une condamnation pour conduite sous influence de stupéfiants, un événement qui marque un tournant déterminant pour l’animateur au parcours jusque-là remarqué.

Une Carrière Entachée par les Controverses

Christophe Dechavanne a pris la parole pour annoncer son retrait, suite à sa récente condamnation par le tribunal correctionnel de Moulins pour récidive de conduite sous l’effet de stupéfiants. Cet incident survient après un contrôle en août 2024 où il fut trouvé positif à la cocaïne. L’animateur a partagé sa frustration face aux réactions souvent hostiles sur les réseaux sociaux et dans les médias, des réactions qui l’ont poussé à prendre du recul pour protéger l’émission et ses collaborateurs.

Une Présentation en Solo pour Léa Salamé

À la suite de son départ, le débat sur son remplacement a été ouvert, mais France 2 a décidé de maintenir Léa Salamé seule à la présentation de « Quelle époque ! », sans chercher de remplaçant immédiat. Cette décision pourrait altérer la dynamique de l’émission, bien que l’avenir du format reste incertain, dépendant en partie de l’évolution de la situation judiciaire de Dechavanne. Il a lui-même évoqué la difficulté d’un retour éventuel dans le monde télévisuel à son âge.

Des Réactions Mitigées à un Hommage Surprenant

Un moment particulièrement clivant a été l’hommage rendu par l’humoriste Charlotte Denaux, qui a choisi de porter un costume de poule en référence aux œufs offerts par Dechavanne à ses collègues. Cette tentative d’hommage, bien que teintée de bonne intention, a divisé l’audience entre rires malaisés et applaudissements timides, avec des critiques quant à l’opportunité d’un tel hommage dans ce contexte particulier. Certains commentaires acerbes ont souligné l’inadéquation de glorifier une figure controversée dans de telles circonstances, reflétant une division nette dans la perception publique.