Pierre Bellemare : sa fille envoyée d’urgence à l’hôpital poi*nardée par son propre fils, voici ce que l’on sait
La multiplication des faits divers liés à des agressions au couteau en France reflète une augmentation alarmante de la violence.
Les causes sous-jacentes varient, allant de troubles psychiatriques à des situations de précarité exacerbées par la consommation de substances illicites. Le drame familial survenu à Montreuil ce 26 février 2025 illustre tragiquement cette tendance.
Explosion de violence dans un cadre familial
À Montreuil, un événement familial a pris une tournure cauchemardesque lorsqu’un jeune homme de 18 ans a agressé sa mère, Maria-Pia Bellemare, avec un couteau. Ce tragique incident s’est produit dans un contexte où la violence domestique, souvent cachée derrière les murs du domicile familial, éclate au grand jour. D’après les témoins, la victime a trouvé refuge chez des voisins, alertant ainsi les autorités.
Détails horrifiants de l’agression
Les secours ont découvert une scène d’horreur : le jeune homme, visiblement en détresse psychologique, continuait de se mutiler malgré l’intervention de la police. L’usage du Taser s’est avéré nécessaire pour maîtriser le jeune homme, qui s’était infligé des blessures abdominales extrêmement graves, exposant ses viscères.
Prise en charge et suites médicales
La victime et son agresseur ont été rapidement transportés dans des hôpitaux différents pour traitement. Maria-Pia Bellemare a été admise à l’Hôpital Henri-Mondor à Créteil et reste consciente, ses jours n’étant pas menacés. Son fils a été hospitalisé sous haute surveillance à la Pitié Salpêtrière à Paris, où son état, bien que stabilisé, reste préoccupant.
L’enquête, menée par le commissariat de Montreuil et dirigée par le parquet de Bobigny, explore plusieurs pistes pour comprendre les motivations derrière cet acte de violence. Les premières constatations révèlent que le jeune homme souffrait de schizophrénie, aggravée potentiellement par la consommation de drogues. Des preuves telles que des cachets de drogue et des couteaux ensanglantés ont été retrouvés sur les lieux, indiquant une possible influence de substances psychotropes au moment des faits.
