« On doit faire attention… » : interrogé sur la fin de C8, David Hallyday choisit ses mots avec précaution
David Hallyday, en pleine promotion de son dernier album « Requiem pour un fou », rendant hommage à son père, a partagé un moment convivial et riche en souvenirs avec Bernard Montiel dans son émission « 1h avec… » sur RFM.
Ce rendez-vous a été l’occasion d’évoquer des passions communes et d’aborder des sujets d’actualité brûlants, comme la fermeture de la chaîne C8.
Lors de cette rencontre intime, Bernard Montiel, ami de longue date de Johnny Hallyday et animateur chevronné, a tissé une conversation riche avec David Hallyday. Ils ont partagé des anecdotes personnelles, notamment sur leur passion commune pour le cinéma, héritée pour David de son père. Bernard a évoqué avec nostalgie les soirées cinématographiques jusqu’à l’aube, un souvenir précieux pour le fils du légendaire chanteur.
Le dialogue a pris une tournure affectueuse et mémorable, illustrant les liens étroits et les souvenirs partagés, ce qui a suscité des réactions chaleureuses et des sourires lors de l’émission.
Réactions face à la fermeture de C8
La conversation a également abordé des sujets d’actualité, notamment la fermeture controversée de la chaîne C8, un événement qui a secoué le paysage médiatique français. Bernard Montiel, faisant partie des chroniqueurs de « Touche pas à mon poste », une des émissions phares de C8, a exprimé son inquiétude et a sollicité l’avis de David Hallyday sur ce sujet brûlant.
David a exprimé sa surprise et sa préoccupation quant à la sévérité du jugement de l’Arcom, qui a mené à la fermeture de la chaîne. Bien qu’il admette ne pas suivre assidûment les nouvelles télévisées, il reconnaît l’impact significatif de telles décisions dans une époque déjà complexe et tendue.
Une perspective plus large
En conclusion de l’interview, David Hallyday a partagé ses réflexions sur la difficulté de naviguer dans le paysage médiatique et social actuel, où chaque parole et action peuvent être scrutées et jugées. Il a mis en lumière les défis de l’expression libre dans un contexte où la prudence est devenue primordiale, tout en critiquant la décision qu’il juge excessive.