Me*rtre de Louise : ADN, coupures sur les doigts, aveux du principal suspect… le point sur l’enquête
Un suspect clé a été arrêté et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur le meurtre tragique d’une jeune fille de 11 ans à Épinay-sur-Orge, en Essonne.

L’ADN de cet homme de 23 ans a été identifié sur la victime, Louise, selon les déclarations du parquet d’Évry. Cette affaire complexe continue d’évoluer avec de nouvelles auditions et révélations.
Détails de l’arrestation et des preuves

L’homme, nommé Owen L., a été interpellé lundi soir et, après 30 heures de garde à vue, a avoué avoir tué Louise dans le bois des Templiers, à Longjumeau. Le suspect, qui a des antécédents de violence et de vol mais sans liens avec le trafic de stupéfiants, présentait également des coupures sur les doigts. Les enquêteurs ont aussi découvert qu’il possédait une doudoune semblable à celle vue sur les images de vidéosurveillance, mais cette dernière reste introuvable.
Enquête en cours et implications familiales

Trois membres de l’entourage d’Owen L. ont également été placés en garde à vue pour non-dénonciation de crime. Ces personnes, incluant ses parents et sa petite amie, ont offert des alibis contradictoires concernant le jour des faits. Le procureur de la République d’Évry prévoit de tenir une conférence de presse pour clarifier les derniers développements de cette affaire sensible.
Contexte de la tragédie

Louise, décrite comme une enfant souriante et bienveillante, participait à un événement scolaire le jour de son décès. Elle a été vue pour la dernière fois en quittant son collège, et son corps a été retrouvé plus tard dans le bois des Templiers. L’autopsie a révélé des blessures graves sans signes de violences sexuelles. La fillette, appréciée pour son engagement scolaire et communautaire, est pleurée par une communauté choquée.
En réponse à cette tragédie, la mairie de Longjumeau a décidé de ne pas organiser de marche blanche pour respecter l’intimité de la famille en deuil, tout en ouvrant des salles de recueillement pour le public. Cette décision souligne la gravité de l’incident et le respect pour les proches de Louise.






