« Je n’ai rien de côté… » : Harry Roselmack (52 ans) en galère financière, ses aveux chocs
Dans un rare moment d’introspection, Harry Roselmack s’est livré sans détour sur ses finances, ses projets et ses valeurs. Dans une interview publiée le 10 août 2025 sur la chaîne YouTube Paradox Sans Filtre, le célèbre présentateur de TF1 a brisé l’image lisse de la célébrité pour dévoiler une facette plus vulnérable, plus humaine, mais toujours animée par la passion.

Il est l’un des visages les plus familiers du paysage audiovisuel français, mais derrière le sourire de l’homme de télévision se cache une réalité moins glamour. Lors de cet échange, Harry Roselmack a reconnu sans détour sa faiblesse dans la gestion de l’argent. « Je ne suis pas du tout un businessman. Je suis nul, et je gère très mal mes finances. Je n’ai rien de côté », confiait-il déjà à Sam Zirah l’année précédente.
Un aveu surprenant de la part d’une personnalité médiatique installée, mais qui illustre le contraste entre notoriété et sécurité financière. Roselmack, malgré des années passées à l’antenne, se dit dépourvu de toute épargne. Une transparence rare dans un milieu où la réussite est souvent assimilée à la richesse.
L’entrepreneuriat comme moteur… mais aussi source d’instabilité
Loin de se contenter de sa carrière télévisuelle, Harry Roselmack multiplie les projets entrepreneuriaux, quitte à prendre des risques importants. « Je suis à l’origine de différentes aventures. J’espère que certaines vont fonctionner », affirme-t-il face caméra.
Créatif dans l’âme, il confesse ne pas être motivé par le profit immédiat, mais par le défi et la concrétisation d’idées. Pour lui, l’essence même de l’entrepreneuriat réside dans l’engagement et le partage. « On ne gagne pas d’argent au début, on en investit… et parfois, on en perd. Mais c’est l’aventure qui compte. » Une philosophie de vie où la réussite se mesure davantage à l’enrichissement personnel qu’à celui du portefeuille.
Une figure publique… mais un père avant tout

Malgré les remous professionnels, c’est vers sa famille que Roselmack puise sa stabilité. Père de trois enfants — Omaya, Yanaël et Leroy — nés de son union passée avec Chrislaine, le journaliste place son rôle de père au sommet de ses priorités.
« Mes enfants sont fiers de moi, mais ils font la différence entre l’homme et la personnalité publique. » Cette lucidité du regard familial semble précieuse à ses yeux. Il insiste sur leur liberté future, affirmant qu’il ne dictera jamais leur orientation professionnelle, pourvu qu’ils soient heureux. Un message d’émancipation et de confiance, reflet de ses propres choix de vie.
Une confession rare aux allures de leçon de vie

En se dévoilant sans filtre, Harry Roselmack interroge les stéréotypes liés à la célébrité : richesse, pouvoir, stabilité. Il admet ses erreurs, ses tâtonnements, ses pertes. Mais il célèbre aussi le droit d’oser, de rêver, de se tromper. Et surtout, le choix de vivre pleinement ses passions, loin du confort feint et des attentes imposées.
Une démarche courageuse, dans un monde où l’image reste souvent figée. Harry Roselmack prouve que l’authenticité, la vulnérabilité même, peut cohabiter avec le succès. Et que le vrai capital — celui qui ne se mesure pas en euros — réside dans la transmission, la création et l’amour des siens.






