“C’est une torture” : Nelson Monfort face à de grosses difficultés dans Danse avec les stars, il lâche tout
La nouvelle saison de « Danse avec les stars » sur TF1 démarre avec son lot de surprises, révélant déjà qui pourrait bien mener la danse et qui pourrait trébucher.
Parmi les concurrents, certains se distinguent par leur aisance, tandis que d’autres éprouvent des difficultés notables. Un début de compétition marqué par des performances inégales et des attentes diverses.
Emergence des favoris et des luttes personnelles
Dès les premiers pas sur le parquet, Lénie, repérée lors de sa participation à la « Star Academy », s’impose comme une favorite évidente. Son expérience préalable dans le monde du spectacle lui confère une aisance et une technique qui la distinguent nettement des autres. En revanche, Sophie Davant, malgré sa notoriété, ne parvient pas à captiver l’audience de la même manière.
Les défis de Nelson Monfort
Quant à Nelson Monfort, le célèbre commentateur sportif, son passage de la cabine de commentaires au parquet de danse est loin d’être une transition fluide. À l’âge de 71 ans, il découvre l’exigence physique de la danse, qui se révèle être un véritable défi. Avec sa partenaire, Calisson Goasdoué, Nelson doit redoubler d’effort pour rester dans la compétition, malgré des débuts laborieux et une position en bas du classement.
Un tango mémorable à venir
Le prochain défi pour les participants sera de transposer un moment clé de leur vie en une performance dansante. Nelson et Calisson optent pour un tango sur un air des Backstreet Boys, un choix significatif pour Nelson qui évoque ses années de jeunesse et sa passion de longue date pour la musique. Ce sera une occasion pour lui de fusionner ses souvenirs avec son présent sur la piste de danse, espérant ainsi marquer des points tant au niveau émotionnel que technique.
Entre nostalgie et réalité
Cependant, les répétitions se révèlent être un véritable calvaire pour Nelson. Malgré l’encadrement patient mais strict de Calisson, il trouve la discipline plus ardue que prévu. Ses plaintes lors des entraînements témoignent de la difficulté de l’adaptation : « Ça fait beaucoup de choses ça, Cali. Mon Dieu, c’est une torture », confie-t-il épuisé.
