Sur le plateau de l’émission « Quelle Epoque », animée par Léa Salamé sur France 2, David Hallyday s’est livré à des confidences émouvantes sur son père, Johnny Hallyday, partageant avec le public des aspects méconnus de leur relation complexe et touchante.

David Hallyday a ouvert son cœur en parlant de Jean-Philippe Smet, le nom de naissance de Johnny, révélant une facette intime de l’icône.

« J’ai eu la chance de connaître Jean-Philippe Smet, qui est mon père, » a-t-il déclaré, introduisant le contraste entre l’homme public et le père souvent absent.

Malgré cette absence, David exprime une réconciliation émotionnelle, mentionnant avoir pardonné presque tout à son père, malgré les défis.

Le poids du non-dit

Le chanteur a également partagé un regret poignant : celui de ne pas avoir eu l’occasion de dire au revoir à Johnny.

« Une chose que vous ne pardonnez pas, c’est de ne pas avoir pu lui dire au revoir, » a souligné Léa Salamé, mettant en lumière une douleur profonde chez David.

Cette révélation souligne les complexités des relations familiales, surtout sous les projecteurs de la célébrité.

Une philosophie de vie positive

Cependant, David Hallyday cherche à ne pas s’attarder sur les aspects négatifs de sa relation avec son père.

« Puis, finalement, je me dis que c’est la vie. On avance, on fait des projets magnifiques, et j’ai la chance d’avoir la liberté de pouvoir créer, de faire des choses, » dit-il, adoptant une attitude résolument positive et tournée vers l’avenir.

Cette approche de la vie reflète sa capacité à transformer les épreuves personnelles en force créative.

L’héritage d’un père

En dépit des moments difficiles, David Hallyday ne manque pas de reconnaître les qualités humaines de son père, louant sa simplicité et son instinct.

« Cette simplicité, ce côté tellement instinctif qu’il nous a donné aussi, ce mec vraiment vraiment sympa, gentil, » témoigne-t-il, rendant hommage à l’homme derrière la légende, un père dont l’influence continue de résonner dans sa propre vie et carrière.