Carole Bouquet se confie sur sa se*ualité : « Je suis triste de ne pas avoir aussi aimé les femmes »
Dans le paysage cinématographique actuel, le nouveau film de David et Stéphane Foenkinos, « Les fantasmes », se distingue par la collaboration éblouissante entre Carole Bouquet et Monica Bellucci.
Ce duo, formant un couple à l’écran, offre une opportunité unique pour les actrices d’explorer des territoires émotionnels complexes. Une récente interview avec Carole Bouquet dans « Paris Match » révèle des pensées intimes et des réflexions sur des choix de vie personnels, enrichissant le contexte de leur performance.
Un Duo Captivant
Une alchimie remarquable à l’écran, cela résume bien la dynamique entre Carole Bouquet et Monica Bellucci dans « Les fantasmes ». Le film propose une exploration audacieuse des désirs cachés à travers l’histoire de six couples, où Bouquet et Bellucci jouent deux femmes profondément amoureuses l’une de l’autre. Cette représentation à l’écran a permis aux actrices de revisiter et de réfléchir à leurs propres expériences et sentiments.
Confessions Intimes
Carole Bouquet, dans son entretien, partage un souvenir poignant et personnel. Elle exprime un sentiment de regret, confiant qu’elle trouve dommage de ne pas avoir exploré des relations amoureuses avec des femmes, malgré une orientation strictement hétérosexuelle. Cette révélation n’est pas seulement une introspection; elle jette aussi une lumière sur la complexité des sentiments humains que le film cherche à capturer.
Complicité Révélée
Monica Bellucci, de son côté, n’hésite pas à révéler la raison particulière de son intérêt pour le film : son désir d’embrasser Carole Bouquet. Cette déclaration audacieuse illustre non seulement leur complicité mais souligne également l’attrait mystérieux que Bouquet exerce sur elle. Bellucci décrit Bouquet comme une personne qui, malgré sa nature ouverte et souriante, conserve une forme de mystère très séduisante.
Le récit se fait également l’écho de rumeurs passées, lorsque Carole Bouquet vivait à New York avec Clio Goldsmith. Bouquet revisite cette période en clarifiant la nature de leur relation, qui était purement platonique, contrairement aux spéculations médiatiques de l’époque. Elle confesse même, avec un brin de mélancolie, que l’idée d’une romance avec Goldsmith n’aurait pas été désagréable.