Aya Nakamura infidèle et au lit avec “Damso, Niska, RK, Balotelli, Turam…”, son ex-compagnon balance tout
Alors qu’elle vient à peine de retrouver la scène et la sérénité, Aya Nakamura se retrouve de nouveau sous les projecteurs… mais pour des raisons bien plus sulfureuses. Son ex-compagnon Vladimir Boudnikoff a ravivé la flamme d’une guerre médiatique, en dévoilant des détails intimes sur leur passé tumultueux.
Entre Aya Nakamura et Vladimir Boudnikoff, l’histoire d’amour a très vite basculé dans le drame. Leur idylle, à la fois passionnée et instable, a débouché sur des accusations réciproques de violences conjugales. Les deux ex-amants ont comparu devant le tribunal pour des faits qualifiés de « violences par conjoint avec incapacité temporaire de travail de moins de huit jours », un dossier aussi sensible que médiatisé. Ils ont été condamnés à des amendes respectives de 10 000 et 5 000 euros.
Depuis ce jugement, chacun semblait avoir pris ses distances. Aya avait repris sa carrière et Vladimir s’était fait plus discret. Pourtant, c’est lui qui vient de rallumer la mèche, par le biais de publications choc sur Instagram, révélant des éléments personnels d’une rare violence symbolique.
Vladimir Boudnikoff balance : « Damso, Maluma, Balotelli… »
Le producteur a publié sur les réseaux sociaux une prétendue liste des hommes qui auraient partagé la vie intime de la chanteuse. Sans filtre, il cite des noms célèbres tels que Damso, Niska, Balotelli ou encore Maluma, évoquant même une « bagarre en studio » ou un mystérieux « italien ».
« Je ne vais pas faire la liste, c’est trop long… En 3 ans, ça fait du monde », a-t-il lâché dans une story Instagram qui a enflammé la toile. Puis, dans un ton accusateur, il glisse une remarque glaçante : « Et tes filles ? … Dans tout ça ? », insinuant un jugement sur la maternité de son ex-compagne.
Cette prise de parole brutale, au ton amer et revanchard, semble vouloir exposer et humilier. Une stratégie qui interroge et scandalise, tant elle piétine la frontière entre sphère privée et place publique.
Une tentative de discrédit ou une douleur mal digérée ?
Dans le passé, Vladimir Boudnikoff se voulait apaisant. Juste après l’affaire judiciaire, il minimisait les faits en les réduisant à une « simple dispute ». « Je n’ai braqué personne… sans poudre, ni balles… Je ne suis pas El Chapo », déclarait-il, visiblement soucieux d’étouffer le scandale. Mais ses récentes publications montrent un tout autre visage, celui d’un homme blessé ou en quête de revanche.
À travers cette offensive verbale, certains y lisent une tentative désespérée de regagner une forme de contrôle, ou du moins de se réapproprier le récit. Car depuis la séparation, Aya Nakamura s’est montrée discrète sur sa vie privée, tout en continuant de briller dans l’industrie musicale.
Les fans d’Aya montent au créneau
La riposte ne s’est pas fait attendre. Sur le réseau X (ex-Twitter), les soutiens de la chanteuse ont dénoncé une attaque sexiste et déplacée. « Sa vie sexuelle lui appartient », rappelle un internaute, indigné par ce qu’il considère comme une violation flagrante de la vie privée. D’autres soulignent l’indignité du geste, même pour un ex-compagnon : « Cela n’excuse pas le fait de dénigrer la mère de sa fille », écrit un utilisateur, tout en reconnaissant le possible désarroi de Boudnikoff.
Des personnalités, dont Hugues Aufray, ont également pris la défense de la chanteuse, mettant en avant son talent et sa résilience. Loin de se laisser ébranler, Aya Nakamura semble décidée à avancer, sans répondre aux provocations.
Une guerre intime devenue spectacle public
Au-delà du clash, cette affaire interroge sur les dérives de l’exposition médiatique des ruptures amoureuses. Quand l’intimité devient un champ de bataille, c’est l’image publique, mais aussi la dignité de chacun, qui se trouvent fragilisées. Et si Vladimir pensait ainsi regagner un peu de terrain, il semble surtout avoir perdu du crédit aux yeux de nombreux observateurs.