Stéphane Plaza : en pleine tourmente, il ne lâche rien et fait une annonce qui surprend
Dans la tourmente judiciaire et médiatique, Stéphane Plaza tente de garder le cap. Alors que de nouvelles révélations éclaboussent son image, l’animateur et entrepreneur immobilier choisit l’offensive, annonçant le lancement d’un nouveau projet professionnel.
Mais en coulisses, son réseau montre des signes de fracture, entre silence du fondateur et désarroi croissant des collaborateurs. Le mercredi 7 mai 2025, Le Parisien a jeté un nouveau pavé dans la mare en révélant que Stéphane Plaza avait été placé en garde à vue, cette fois dans le cadre d’une affaire de trafic de stupéfiants. Déjà condamné en février à un an de prison avec sursis pour violences conjugales, l’animateur emblématique de M6 semble sombrer un peu plus dans la crise. Lors de la perquisition à son domicile, les enquêteurs ont découvert un gramme de cocaïne, une pipe à crack et 1 700 euros en liquide. Un tableau accablant, même si aucune poursuite immédiate n’a été engagée.
Une réponse musclée et un projet en guise de rebond
Face à cette nouvelle tempête, Stéphane Plaza a décidé de reprendre la parole sur Instagram, non pas pour se justifier, mais pour afficher une posture de résilience. Dans une story partagée à ses abonnés, il écrit : « Peu importe le nombre, tant qu’il y a la force, l’énergie, la passion et le professionnalisme ». Et de conclure : « Rendez-vous le 30 juin pour vous dévoiler la phase 2 de Stéphane Plaza Immobilier. Ce n’est que le début. » Un message à double tranchant, qui oscille entre bravade publique et tentative de reconquête médiatique. Un pied de nez assumé à ceux qui le jugent déjà perdu.
Une fracture interne au sein de son propre réseau
Mais si Stéphane Plaza joue la carte de la combativité, le malaise est palpable au sein de son réseau d’agences immobilières. Plusieurs collaborateurs, interrogés par Le Parisien, confessent leur malaise, voire leur honte, à continuer d’opérer sous une enseigne devenue embarrassante. L’un d’eux raconte avoir dû retirer le nom « Plaza » de ses supports commerciaux — flyers, cartes de visite, véhicules — pour regagner la confiance de ses clients. « C’est dur d’avoir honte de sa propre marque », avoue-t-il avec amertume.
Une réputation ternie, des affaires fragilisées
Les conséquences sont concrètes : baisse de fréquentation, clients méfiants, interrogations sur l’avenir. Certains agents dénoncent une forme d’abandon, regrettant que le fondateur n’ait pas pris la parole pour soutenir ou rassurer ses équipes. Le lancement de la fameuse “phase 2” semble pour l’instant totalement déconnecté des réalités vécues sur le terrain. En interne, la fracture est réelle, alimentée par l’absence de communication directe et les polémiques successives qui affaiblissent l’image de marque du réseau.