15 49.0138 8.38624 1 1 10000 1 https://fr.housetherapie.com 300
Publicité:
Publicité:

Sonia Mabrouk explose en plein direct, « vous n’avez pas honte ? »

Publicité:

Entre annonce personnelle et séquence politique très commentée, Sonia Mabrouk a récemment occupé l’actualité médiatique sur deux fronts distincts.

La journaliste de CNews et Europe 1 a partagé une heureuse nouvelle familiale, tout en restant fidèle à son rôle d’intervieweuse incisive lors d’un échange tendu qui avait marqué les esprits quelques mois plus tôt.

La famille de Sonia Mabrouk s’apprête à s’agrandir une nouvelle fois. À 48 ans, la journaliste attend son deuxième enfant, une information qu’elle a officialisée le 26 novembre dernier sur ses réseaux sociaux. Pour accompagner cette annonce, elle a publié une photo touchante de sa fille Soraya tenant l’échographie du futur bébé, dévoilant au passage le sexe de l’enfant à venir.

Un petit garçon en route

Publicité:

En légende de ce cliché, Sonia Mabrouk a écrit quelques mots simples mais lourds de sens : « Soraya veille déjà sur son petit frère ». Par cette phrase, elle a confirmé qu’un garçon rejoindra prochainement la famille. L’annonce a rapidement suscité de nombreuses réactions bienveillantes, les internautes adressant leurs félicitations à la journaliste, déjà mère d’une petite fille.

Cette heureuse nouvelle a ravivé le souvenir d’une séquence marquante survenue peu avant son départ en congé maternité, en juin dernier. Sonia Mabrouk avait alors créé un moment de forte tension à l’antenne, lors d’un entretien politique très suivi, illustrant une fois de plus son style direct et sans détour.

Le 30 juin, la journaliste recevait Manon Aubry dans la matinale diffusée sur CNews et Europe 1. Dès les premières minutes, le ton s’était révélé particulièrement ferme, Sonia Mabrouk interpellant l’eurodéputée sur son abstention lors d’un vote européen concernant le sort de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné depuis plusieurs mois.

Un débat sur la stratégie diplomatique

Publicité:

Face aux critiques, Manon Aubry avait défendu sa position en expliquant que la résolution européenne risquait, selon elle, d’aggraver les tensions entre l’Union européenne et l’Algérie. Elle avait mis en avant une approche fondée sur la diplomatie plutôt que la confrontation, affirmant que cette ligne, initialement contestée, avait depuis été rejointe par d’autres responsables politiques.

Au fil de la discussion, Sonia Mabrouk avait insisté sur l’engagement de Boualem Sansal contre l’islamisme et l’antisémitisme. Manon Aubry avait, de son côté, recentré le débat sur un principe universel : la liberté d’expression, rappelant qu’aucun écrivain ne devrait être incarcéré pour ses idées, quelles qu’elles soient.

Quelques mois plus tôt, le Parlement européen avait adopté une résolution appelant à la libération immédiate de l’écrivain, dénonçant plus largement la situation des journalistes et militants dans le pays concerné. La justice algérienne a néanmoins condamné Boualem Sansal à une peine de prison et à une lourde amende, une décision contre laquelle il a fait appel, exposant désormais l’auteur à des sanctions encore plus sévères.

Publicité:

Publicité:

Merci pour le partage!