Remonté, Cyril Hanouna ne mâche pas ses mots sur Gabriel Attal : « Je déteste les gens comme ça »
Dans le paysage médiatique français, Cyril Hanouna est une figure qui ne passe jamais inaperçu. Ce lundi 7 avril 2025, son émission « On marche sur la tête » sur Europe 1 a encore fait des vagues.
Connu pour son franc-parler, Hanouna a cette fois-ci pris pour cible Gabriel Attal et Édouard Philippe, déclenchant un torrent de réactions avec ses commentaires tranchants dès les premières minutes de l’émission.
Cyril Hanouna et sa verve caractéristique
Cyril Hanouna a une fois de plus prouvé qu’il ne recule devant rien. Dès l’ouverture de son émission sur Europe 1, il a lancé une série de critiques acerbes, notamment envers Gabriel Attal et Édouard Philippe, accusant ces derniers de trahison envers Emmanuel Macron. « Je déteste les gens qui manquent de loyauté, » a-t-il déclaré, marquant ses propos d’une indignation palpable. Cette sortie n’a pas manqué de susciter de vifs débats, tant sur les plateaux télévisés que sur les réseaux sociaux, où l’écho de ses mots continue de résonner.
Changements radicaux dans le paysage télévisuel
Le parcours de Hanouna est marqué par sa résilience face aux adversités. Après la suppression des autorisations de diffusion de C8 et NRJ12 par l’ARCOM en juillet 2024, Hanouna n’a pas tardé à rebondir. L’animateur, qui avait fait de « Touche pas à mon poste » une référence du débat télévisé, s’est rapidement repositionné sur M6 et Fun Radio, prouvant sa capacité à s’adapter et à innover. Son style sans compromis et direct continue de captiver une audience fidèle, désormais sur les ondes d’Europe 1.
Confrontations et critiques politiques
La journée du 8 avril a vu Éric Ciotti, invité sur le plateau de « La Grande interview Europe 1-CNews », rejoindre Hanouna dans ses critiques. Le président de l’Union des Droites pour la République a exprimé des reproches similaires envers l’ancien Premier ministre Gabriel Attal, pointant du doigt une gestion financière désastreuse. « C’est 400 fois plus que ce qu’il reproche à Marine Le Pen, » a précisé Ciotti, accentuant la portée de ses mots par des comparaisons chiffrées, illustrant ainsi la gravité des accusations portées contre Attal.
