Quotidien : Pablo Mira compare Cyril Hanouna au chien de Marine Le Pen
Chaque soir dans l’émission « Quotidien », Pablo Mira délivre sa chronique « Quatre minutes, douche comprise », où il n’épargne ni les politiques ni les célébrités. Mardi soir, c’était au tour des figures politiques de subir ses piques acérées, mais c’est finalement Cyril Hanouna qui a conclu la séquence.
Un florilège de cibles politiques
Dans sa dernière intervention, Pablo Mira a pris pour cible plusieurs personnalités politiques bien connues. Emmanuel Macron, Jordan Bardella, Éric Ciotti, Jean Lassalle, Jean-Luc Mélenchon, Aymeric Caron, et Manuel Valls ont tous été visés par ses remarques incisives. Chacun a eu droit à son commentaire tranchant, typique du style direct et souvent impitoyable de Mira.
La pique finale à Cyril Hanouna
La conclusion de la chronique de Mira s’est portée sur Cyril Hanouna, une figure médiatique qu’il semble apprécier taquiner régulièrement. Utilisant une image de Marine Le Pen caressant un Golden Retriever, Mira a commenté: « On se quitte avec l’image du jour et, ce mardi, c’est Marine Le Pen qui félicite Cyril Hanouna pour la première de sa quotidienne sur Europe 1 ». Cette remarque osée a suscité des rires parmi le public et un sourire complice de Yann Barthès, le présentateur de l’émission.
Une habitude de critiques acerbes
Ce n’est pas la première fois que Pablo Mira utilise son espace dans l’émission pour lancer des flèches acérées vers Cyril Hanouna. Dans une précédente chronique, il avait déjà fait référence à Hanouna en le comparant à une marionnette manipulée par Vincent Bolloré, ajoutant une touche de satire en mentionnant également le ventriloque Jeff Panacloc et sa marionnette Jean-Marc.
Mira ne se limite pas à critiquer les externes; il s’attaque aussi à ses propres collègues et même à son émission, preuve de son humour décapant et de sa liberté de ton. Sa capacité à transformer les controverses en humour a été illustrée lorsque « Quotidien » a été accusée de racisme. Sans se démonter, Mira avait répliqué par une boutade affirmant sa liberté.
Pablo Mira continue de marquer « Quotidien » par sa présence unique, oscillant entre critique sociale pointue et humour noir. Son audace et son irrévérence en font un chroniqueur incontournable pour ceux qui cherchent à rire et réfléchir simultanément.
