Dans un documentaire poignant diffusé sur France 3, « Florent raconte Pagny », le chanteur Florent Pagny ouvre son cœur et partage des détails intimes de sa vie amoureuse avec Azucena, rencontrée à Paris en 1993.

Dix-sept ans après leur mariage, il dévoile avec émotion les moments clés de leur union, célébrée au printemps 2006, enrichis par des images inédites de cette journée mémorable.

Une proposition inattendue

Florent Pagny a surpris Azucena avec une proposition de mariage spontanée lors d’une interview radio le jour de la Saint-Valentin en 2006.

Cette déclaration impromptue a été le prélude à un mariage civil intime, suivi d’une célébration plus grande avec famille et amis. Cette seconde cérémonie, pleine de joie et d’amour, s’est tenue en plein air le 13 mai 2006, avec l’acteur Kad Merad endossant le rôle d’officiant.

Un mariage unique et coloré

Le mariage a brillé par son originalité et son respect des traditions. Azucena portait une robe éclatante avec corset et volants turquoise, complétée par un voile bleu, tandis que Florent optait pour une chemise blanche sous un large poncho, fusionnant modernité et héritage culturel. Le cadre, les tenues et l’ambiance ont tous contribué à faire de leur union un événement inoubliable.

Célébration et soutien familial

Lors de la cérémonie, devant leurs enfants Inca et Ael, Florent a joyeusement accepté Azucena comme sa compagne de vie, scellant leur amour par un « oui » passionné.

Kad Merad a conclu avec humour : « Au nom du père, du fils et du Saint Poncho, je vous déclare mari et femme ! » La soirée a été couronnée par une danse émotive sur le titre « Et un jour une femme », reflétant l’harmonie et la profondeur de leur relation.

Des années après leur mariage, le couple reste uni face aux défis, notamment durant la récente lutte de Florent contre le cancer.

Il témoigne d’un soutien familial remarquable, décrivant leur lien comme fusionnel : « Nous quatre, c’est encore plus spécial parce que c’est fusionnel. On est une famille mais aussi un gang. » Cette solidarité a été cruciale dans son combat pour la santé, affirmant que « quand il se passe quelque chose, c’est tous pour un, un pour tous. »