« Pitoyable ! » : la réponse de Miss France 2025 à cette question d’un journaliste fait enrager les internautes
Angélique Angarni-Filopon, récemment couronnée Miss France 2025, est rapidement devenue le sujet de discussions animées.
Une semaine seulement après son sacre, elle fait face à des réactions partagées suite à un reportage de l’émission « Sept à Huit » sur TF1, qui l’a suivie pendant ses premiers jours en tant que Miss Martinique et Miss France.
Durant ce reportage, on découvre Angélique durant des shootings photo dans le métro parisien et lors d’entretiens.
C’est précisément lors de l’un de ces entretiens que la situation prend une tournure inattendue. Interrogée sur une affaire judiciaire très médiatisée, la réponse de Miss France n’a pas manqué de faire réagir.
« Non, je ne suis pas à l’aise, » a déclaré Angélique, une réponse qui a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux.
Un moment de tension
Le soir de son élection, Angélique avait impressionné par son éloquence. Toutefois, confrontée à la question d’un journaliste de TF1 sur l’affaire Pélicot, connue sous le nom des « viols de Mazan », elle semble perdre ses moyens.
« Je ne suis pas à l’aise à ce sujet… Pas à l’aise, » répète-t-elle, visiblement mal à l’aise avec la question posée juste après son élection.
Cindy Fabre, la nouvelle directrice du comité Miss France, a tenté de défendre sa protégée, rappelant que Miss France peut parfois devoir rester neutre sur certains sujets, tout en ayant ses propres convictions.
Réactions contrastées
Cette posture a divisé l’opinion publique. Certains internautes ont critiqué sa réaction, arguant qu’à 34 ans, elle devrait être capable de s’exprimer sur des sujets sérieux.
« Quand il a fallu parler sérieux, il n’y avait plus personne, » commente une internaute déçue. D’autres ont exprimé leur indignation, estimant qu’en matière de viol, il ne devrait pas y avoir de neutralité.
Cette controverse souligne la pression et les attentes placées sur les épaules de celles qui portent la couronne de Miss France, confrontées à l’équilibre entre leur rôle public et leurs opinions personnelles.