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Patrick Sébastien se paye Léa Salamé, “Je n’aime pas cette…”

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À 71 ans, Patrick Sébastien continue d’assumer son franc-parler sans filtre. En pleine promotion de son livre Même pas peur, paru en octobre 2025, l’ancien animateur n’a pas hésité à provoquer de nouveaux remous médiatiques lors de son passage dans l’émission Le Crayon, où il a livré des propos pour le moins tranchés.

Invité à participer à la séquence “Peuple ou pas peuple ?”, Patrick Sébastien s’est prêté au jeu avec enthousiasme, commentant plusieurs personnalités publiques. Lorsqu’il a été interrogé sur Kylian Mbappé, il n’a pas hésité à le qualifier de « représentant du peuple », saluant son parcours et son image.
Mais le ton a radicalement changé lorsque le nom de Léa Salamé a été évoqué. Visiblement agacé, l’artiste a laissé éclater son ressenti : « Je n’aime pas cette nana pour mille raisons », a-t-il lâché, assumant sans détour sa position.

Un souvenir qui ne passe pas

Ce rejet trouve son origine dans une ancienne émission télévisée. Patrick Sébastien explique avoir présenté un livre lorsque Léa Salamé l’aurait accusé de tenir des propos misogynes, en affirmant à l’antenne qu’il y aurait écrit que « toutes les femmes sont des sal**** ».


L’animateur raconte avoir demandé à la journaliste de lui montrer la page concernée, ce à quoi elle aurait répondu avoir « oublié le livre à la maison ».
Cette situation l’aurait profondément exaspéré, au point de rester gravée dans son esprit comme une forme de malhonnêteté intellectuelle.

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Un rejet de l’« hypocrisie médiatique »

Pour Patrick Sébastien, cette expérience symbolise une façon de faire du journalisme qu’il dénonce. Selon lui, certains médias privilégient le piégeage ou la caricature, plutôt que la discussion honnête et argumentée.
L’artiste affirme : « Je n’aime pas cette manière de piéger les gens. J’aime la franchise, pas l’hypocrisie médiatique. »
Une critique qu’il assume d’autant plus qu’il traverse lui-même une période financière compliquée, que ses sorties médiatiques ne cherchent pas à masquer.

Des flèches décochées contre Jean-Luc Mélenchon

Léa Salamé n’a pas été la seule visée par son franc-parler. Dans la même interview, Patrick Sébastien s’est attaqué à Jean-Luc Mélenchon et à son mouvement politique. Il affirme que le leader insoumis aurait trouvé, à travers certains électorats, un « réservoir financier », du fait du financement des partis en fonction des voix obtenues.
S’il reconnaît la part de conviction chez Mélenchon, il estime que le calcul politique n’est jamais loin, suggérant que flatter certaines communautés peut aussi servir des intérêts matériels.

Une critique sur le nom même du mouvement

Toujours dans son style frontal, Patrick Sébastien est allé plus loin en contestant l’appellation « La France insoumise ». Selon lui, un mouvement ne peut se prétendre insoumis si tous obéissent à un leader incontesté.
« Moi, je suis un insoumis. Eux, ils sont soumis à leur chef », a-t-il affirmé.
En quelques phrases, il résume sa vision de l’indépendance : la liberté se prouve, elle ne se proclame pas.

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