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Pascal Praud brutalement honnête sur Jordan Bardella : « On doit rire ou pleurer ? »

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La polémique enfle dans le paysage médiatico-politique français : invité sur CNews, Jordan Bardella a réagi avec fermeté à une déclaration faite sur France 5, où une journaliste a évoqué un parallèle entre son ascension et celle d’Ad*lf H*tler. Des propos qui ont provoqué indignation, dénonciations et ripostes publiques.

L’affaire prend naissance sur le plateau de C dans l’air, lors d’un débat consacré au budget 2026. Caroline Michel-Aguirre, journaliste au Nouvel Observateur, évoque ce qu’elle décrit comme un “effet Von Papen”, établissant un parallèle historique entre l’ascension de Jordan Bardella et celle d’Hitler dans les années 1930. Cette association de nom et d’histoire a immédiatement soulevé l’ire du Rassemblement national, qui a annoncé saisir l’Arcom, dénonçant une diffamation déguisée en analyse politique.

Bardella dénonce une attaque personnelle

Face à Christine Kelly, le président du RN se dit profondément choqué. Il affirme que ces propos dépassent les limites du débat démocratique, car ils visent à délégitimer sa personne plutôt qu’à contredire ses idées. « On me présente comme la réincarnation d’Hitler, et en plus comme un crétin. Les Français jugeront », déclare-t-il. Pour Jordan Bardella, cette séquence s’inscrit dans un climat de suspicion constante autour de son parti, alimenté, selon lui, par certains milieux médiatiques.

Pascal Praud s’insurge à son tour

La comparaison n’a pas seulement irrité les rangs du RN. Sur CNews, Pascal Praud s’est emporté en dénonçant ce qu’il considère être une dérive du service public. « Bardella comparé à Hitler : doit-on rire ou pleurer ? », s’interroge l’éditorialiste. Dans un commentaire au ton tranchant, il affirme que ce type de discours contribue à polariser encore davantage l’opinion, en présentant certaines personnalités politiques comme des menaces existentielles avant même la confrontation électorale.

Une accusation sans contradiction en direct

Ce qui a particulièrement frappé Jordan Bardella, c’est le silence des autres intervenants sur France 5. Aucun journaliste sur le plateau n’a contesté ou nuancé la comparaison, ce qu’il juge révélateur. « On distribue les bons points et les mauvais points, dans un entre-soi confortable », regrette-t-il. Pour lui, l’absence de réaction équivaut à une approbation tacite, renforçant l’idée d’un front médiatique hostile.

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La rhétorique de la diabolisation

Pour le leader du RN, cette séquence illustre un procédé politique récurrent : assimiler toute idéologie non alignée à la gauche à une menace fasciste. « À partir du moment où vous n’êtes pas de gauche, vous êtes forcément un n*zi », déclare-t-il. Il dénonce une stratégie visant à empêcher tout débat serein, en disqualifiant l’adversaire plutôt qu’en confrontant ses arguments.

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