« Papa est mort » : Bernard Montiel se confie sur le terrible message qu’il a reçu en pleine interview à la télé
Bernard Montiel, figure bien connue du paysage médiatique français, entretient une image à la fois de proche des stars et de chroniqueur emblématique. Sa carrière, riche en anecdotes croustillantes, a été marquée par des moments de télévision inoubliables, comme l’apprentissage du décès de son père en direct, ou encore la révélation de son impressionnant patrimoine.
Une carrière diversifiée au cœur des médias
Bernard Montiel, plus qu’un simple visage à la télévision, a su tisser des liens étroits avec le monde du spectacle et même avec le couple présidentiel. Si les jeunes le reconnaissent surtout comme chroniqueur de l’émission « Touche Pas À Mon Poste » sur C8, son parcours est jalonné de rôles de présentateur, dont celui marquant dans « Vidéo Gag » sur TF1. Cette émission culte, diffusée entre 1990 et 2003, lui a permis de devenir une référence dans le divertissement télévisuel français.
Un moment bouleversant en direct
L’annonce en direct du décès de son père est un moment qui a marqué sa carrière. Cette nouvelle lui parvient alors qu’il interviewait l’acteur José Garcia pour Europe 1. Gardant son calme, il poursuit l’interview, un choix professionnel difficile mais révélateur de son engagement envers son métier et son audience. « Je voulais terminer car l’artiste s’était déplacé, ce n’est pas respectueux pour lui, pour les téléspectateurs, c’était accomplir mon contrat et surtout aller au bout », explique-t-il. Ce geste a montré son professionnalisme, même dans les moments les plus durs.
Un patrimoine impressionnant révélé
En mars dernier, Bernard Montiel a surpris tout le plateau de TPMP en dévoilant l’étendue de son patrimoine immobilier. Après avoir vendu une propriété au Pilat, il a acquis une maison à Gassin, face à Ramatuelle dans le Var. Ces transactions mettent en lumière non seulement ses succès financiers, mais aussi une carrière longue et fructueuse, commencée dès ses 18 ans. Vidéo Gag, notamment, lui rapportait à l’époque environ 150 000 francs par mois, soulignant l’importance des revenus télévisuels de cette époque dorée.