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Nicolas Sarkozy sans pitié avec Yann Barthès : dans son livre, il n’épargne pas l’animateur !

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Dans son nouveau livre écrit depuis sa cellule, Nicolas Sarkozy revient sur son incarcération, sur le procès qui l’a conduit en prison et sur les réactions médiatiques ayant suivi sa condamnation.

Sans détour, l’ancien chef de l’État règle ses comptes, tout en soulignant le soutien inattendu de quelques voix du paysage journalistique. Dans Le Journal d’un prisonnier, Nicolas Sarkozy décrit les vingt jours qu’il a passés derrière les barreaux après sa condamnation dans l’affaire du financement libyen présumé. Il y détaille ses conditions de détention, mais surtout son indignation face au jugement qu’il juge incohérent et largement infondé. L’ancien président affirme que la décision d’incarcération provisoire ne répondait à aucun des critères exigés par la loi, nourrissant son sentiment d’injustice et sa volonté de livrer sa vérité dans cet ouvrage.

Un soutien médiatique inattendu : Jean-Michel Aphatie salué

Parmi les personnalités évoquées, Jean-Michel Aphatie occupe une place singulière. Nicolas Sarkozy admire l’attitude du journaliste, qui a publiquement défendu ses principes malgré une absence d’affinités politiques. Selon l’ex-président, Aphatie a dénoncé les failles du jugement avec « finesse » et « bravoure », n’hésitant pas à exprimer ses réserves dans un contexte qu’il qualifie d’hostile, notamment sur le plateau de Quotidien. Cette prise de position, rare dans le paysage médiatique, apparaît pour Sarkozy comme un acte de courage intellectuel.

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Yann Barthès, cible privilégiée de l’ancien président

La gratitude manifestée envers Aphatie contraste avec la sévérité des critiques adressées à Yann Barthès. Dans plusieurs passages, Nicolas Sarkozy fustige l’attitude du présentateur et l’ambiance qu’il attribue à l’émission de TMC, qu’il décrit comme volontiers agressive à son égard. Il estime que certains chroniqueurs n’ont pas hésité à juger et attaquer sans retenue, tout en étant incapables d’encaisser la moindre contradiction. Cette dénonciation marque une rupture ouverte avec l’univers de Quotidien, qu’il accuse de partialité et de facilité.

Franz-Olivier Giesbert, une défense passionnée

Un peu plus loin dans son récit, l’ancien président s’attarde sur Franz-Olivier Giesbert, dont les réactions ont également retenu son attention. Choqué par la manière dont Nicolas Sarkozy avait été jugé, le journaliste a exprimé une indignation que l’ex-chef de l’État décrit comme une « rage de me défendre ». Sur le plateau de Quotidien, Giesbert aurait lancé une comparaison audacieuse avec l’affaire Dreyfus, mettant Yann Barthès en grande difficulté. Sarkozy relate même que l’animateur serait resté sans voix, surpris par la virulence de l’attaque.

Un débat médiatique sous haute tension

En revenant sur ces échanges, Nicolas Sarkozy insiste sur ce qu’il considère comme un déséquilibre dans le traitement médiatique de son affaire. Pour lui, ceux qui critiquaient avec virulence ne mesuraient pas ce que signifie « recevoir des coups », habitués selon lui à agir sans être réellement contredits. Il rappelle toutefois que Yann Barthès avait recadré son invité, jugeant la comparaison avec Dreyfus inappropriée et refusant d’être associé à un tel parallèle.

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