Natasha St-Pier : un candidat de télé-réalité profère des accusations ahurissantes contre la chanteuse
La controverse entre Inès Reg et Natasha St-Pier a atteint de nouveaux sommets ce lundi 29 avril, les deux artistes ayant choisi des plateformes médiatiques différentes pour s’exprimer depuis la conclusion de « Danse avec les stars ».
Inès Reg a opté pour l’émission « Quotidien » tandis que Natasha St-Pier s’est présentée sur le plateau de « Touche pas à mon poste ». Les approches des deux femmes étaient nettement opposées : Inès Reg a pris un ton provocateur, allant jusqu’à traiter sa rivale de « grand-mère », alors que Natasha St-Pier est restée plus mesurée et discrète sur le sujet.
Face aux piques de Inès Reg relayées par Cyril Hanouna, Natasha St-Pier a choisi de ne pas répondre directement, préférant esquiver avec humour en mentionnant un « petit rhume » comme seul souci actuel. Cette réaction sobre semblait indiquer son désir de mettre fin au conflit.
Cependant, la curiosité du public reste éveillée et le débat a pris un tournant inattendu avec l’intervention de Mathieu Dor, un ancien candidat de téléréalité, dans une émission sur YouTube animée par Sam Zirah.
Mathieu Dor a jeté de l’huile sur le feu en accusant Natasha St-Pier d’avoir recours à la sorcellerie pour nuire à Inès Reg durant le concours. Selon lui, des incidents mystérieux, tels qu’un élément du décor tombant sur l’humoriste durant les répétitions, seraient liés à des pratiques occultes de la part de la chanteuse.
« Une source proche de la production de DALS m’a confié que Natasha St-Pier était une sorcière », a-t-il déclaré, bien que ces allégations paraissent peu crédibles et soient difficiles à prendre au sérieux.
Ces accusations rappellent des scandales précédents de sorcellerie dans le milieu de la téléréalité, notamment l’affaire Carla Moreau, soulignant à quel point le conflit entre Inès Reg et Natasha St-Pier a évolué bien au-delà de leur rivalité initiale, captivant l’attention du public et alimentant des débats passionnés et parfois absurdes.