Nadine Morano victime de messages scandaleux après la mort de son fils, Eric Naulleau monte au créneau
La douleur d’une mère face à la perte de son enfant est inimaginable. Nadine Morano, députée européenne, traverse cette épreuve après la mort de son fils Grégoire, âgé de 33 ans, survenue le mardi 23 juillet.
Cette triste nouvelle a été révélée par le magazine Public et confirmée par Actu.fr et l’Est Républicain. Grégoire Morano a été retrouvé en arrêt cardiorespiratoire dans son appartement à Nancy. C’est son père, Angelo Morano, qui a alerté les secours après avoir perdu contact avec lui, craignant le pire.
À ce stade, les causes exactes de sa mort restent indéterminées, et des examens complémentaires sont en cours pour élucider les circonstances de cette tragédie. La famille a demandé le respect de leur intimité en ces moments douloureux.
Un Passé Marqué par les Difficultés
Grégoire Morano avait un passé judiciaire et des problèmes de toxicomanie qui ont été largement médiatisés. En janvier 2024, il avait été condamné à 8 mois de prison avec sursis probatoire pour des infractions liées à la conduite sous l’influence de stupéfiants et à la mise en danger d’autrui.
Ces antécédents ont alimenté diverses spéculations sur les réseaux sociaux concernant les circonstances de sa mort, bien que la famille n’ait souhaité aucune spéculation publique.
En pleine douleur, Nadine Morano a reçu le soutien de plusieurs figures publiques. Isabelle Balkany et Éric Naulleau ont exprimé leur sympathie, ce dernier dénonçant les commentaires malveillants dirigés contre la députée européenne.
Naulleau a fermement condamné les propos cruels émis par certains internautes, qui ont utilisé cette tragédie pour exprimer des opinions politiques, parfois insensibles au chagrin de la famille Morano.
La Réaction de Eric Naulleau
Éric Naulleau, ancien chroniqueur de l’émission « On n’est pas couché », a pris la défense de Nadine Morano sur les réseaux sociaux. Il a exprimé son indignation face à l’inhumanité de certains commentaires, soulignant que la perte d’un enfant transcende les divergences politiques.
« Non seulement, vous déversez votre haine sur une mère qui vient de perdre son fils, mais d’évidence, vous ne savez pas lire, » a-t-il écrit, ajoutant une note de compassion et de soutien pour Morano dans cette période extrêmement difficile.