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Disparition d’Alain Delon : Anouchka sort du silence, ses mots crève coeur deux jours après ses obsèques

Le dimanche 18 août 2024 a été marqué par la disparition d’une figure légendaire du cinéma français, Alain Delon, décédé à l’âge de 88 ans.

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Dans le silence de sa maison de Douchy, entouré de ses enfants Anthony, Anouchka et Alain-Fabien, il a tiré sa révérence, laissant derrière lui un héritage cinématographique immense et des cœurs brisés.

Anouchka Delon, restée silencieuse lors de l’annonce du décès, a choisi Instagram pour exprimer sa peine deux jours après les obsèques de son père.

Partageant une photo d’un moment tendre avec lui et une autre où elle tient sa main, elle a cité des paroles de la chanson « Je t’aime tu sais » interprétée par son père, révélant sa profonde douleur et son amour éternel. « Je te garderai sur mon cœur. Pour faire s’envoler ma peur… Je t’aime, et toi ? », écrivait-elle, ajoutant simplement : « Papa, je t’aime, papa ».

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Ces mots ont suscité une vague de soutien de la part de célébrités et de fans, illustrant la portée de l’affection que beaucoup ressentent pour la famille Delon.

Une rencontre émotionnelle avec les fans

Le mercredi 21 août, Anouchka s’est rendue aux grilles de la demeure de Douchy pour rencontrer les fans de son père venus rendre hommage.

Là, elle a échangé avec ceux qui avaient apporté fleurs, lettres, dessins et photos en mémoire de l’acteur, partageant un moment de recueillement collectif et de gratitude envers ceux qui continuaient à célébrer sa vie et son œuvre.

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Un prélude poignant à la disparition d’un père

Des semaines avant la perte de son père, Anouchka avait déjà exprimé ses craintes et son anticipation douloureuse face à l’inévitable.

Inspirée par la chanson « À ma fille » de Charles Aznavour, elle avait adapté les paroles pour créer « À mon père », un poème poignant publié sur Instagram : « Je sais qu’un jour viendra, car la vie le commande, ce jour que j’appréhende où tu nous quitteras… Je rentrerai chez toi où tu ne seras pas. » Ces mots, lourds de tristesse anticipée, résonnent désormais avec une poignante réalité.

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