« Mon fils n’est pas le monstre que l’on dépeint » : la mère de P. Diddy sort du silence et dénonce « un lynchage public »
Au cœur d’un scandale qui secoue l’industrie musicale, le célèbre rappeur P. Diddy fait face à des accusations graves et des révélations troublantes.
Derrière les barreaux, il voit son image et sa carrière être remises en question, tandis que sa famille et ses avocats se mobilisent pour sa défense.
Le dossier contre P. Diddy s’alourdit de jour en jour. Actuellement incarcéré à New York, le rappeur est au centre de multiples plaintes pour violences se*uelles.
En novembre, son ex-compagne Cassie avait déposé une plainte l’accusant de violences se*uelles prolongées et de sévices physiques, une plainte qu’elle a retirée après un accord avec le rappeur.
Cependant, la lumière est désormais braquée sur le « style de vie malsain » que menait P. Diddy, décrit par son cercle proche et les victimes présumées.
L’avocat Tony Buzbee, qui représente 120 victimes, dont un enfant, promet de révéler bientôt une liste de noms liés à un réseau de trafic se*uel présumé orchestré par le rappeur.
« Les noms vous choqueront… Nous allons nous assurer au plus haut point que nous avons raison avant de faire des révélations », a-t-il annoncé, accentuant la tension autour de l’affaire.
La famille en première ligne de défense
Face aux accusations, la famille de P. Diddy est montée au créneau. Les enfants du rappeur ont défendu l’honneur de leur mère, Kim Porter, décédée en 2018, dont la mort avait suscité des rumeurs. Récemment, Janice, la mère de P. Diddy, a brisé le silence pour défendre son fils.
« Ça me brise le cœur de voir mon fils jugé sur un tissu de mensonges », a-t-elle exprimé, déplorant ce qu’elle perçoit comme un « lynchage public ».
Elle insiste sur le droit de son fils à un procès équitable, où il pourra présenter sa version des faits et, espère-t-elle, prouver son innocence.
« Il n’est pas parfait… Il a fait des erreurs, mais ce n’est pas pour autant qu’il est coupable de ce dont on l’accuse », a-t-elle ajouté, évoquant un incident où son fils avait été pris en défaut par des images de vidéosurveillance malgré ses dénégations.