Chaque année, le test de culture générale de Miss France révèle autant le niveau des candidates que leur spontanéité.

Entre questions pièges, nouveautés et perles inattendues, l’édition 2026 ne fait pas exception et offre un aperçu savoureux des coulisses du concours le plus suivi de France. Le concours Miss France ne repose pas seulement sur le charme ou la prestance : la culture générale fait pleinement partie de l’évaluation. Comme le veut la tradition, les candidates ont passé leur questionnaire lors du voyage de préparation, cette année en Martinique, à quelques semaines de l’élection présentée par Jean-Pierre Foucault. Les 60 questions portent sur l’histoire, la géographie, le français, les mathématiques, l’anglais, mais aussi l’actualité récente, un domaine où les pièges ne manquent jamais.

Une nouveauté : l’apparition des questions de logique

Pour Miss France 2025, la Société Miss France a ajouté une épreuve supplémentaire : dix questions de logique, chronométrées en 30 secondes seulement. Un exercice conçu pour évaluer la rapidité de raisonnement. Comme l’a précisé Frédéric Gilbert, directeur général de l’organisation, certaines candidates pouvaient trouver la bonne réponse par un raisonnement différent, ce qui a poussé le comité à mieux cadrer l’épreuve. L’an dernier, Marina Przadka, Miss Picardie, avait brillé avec une moyenne de 15,5/20 et un 10/10 parfait en logique, performance qui lui a ouvert les portes du top 15.

Les questions simples qui piègent encore

Certaines interrogations semblaient pourtant évidentes… mais ont donné lieu à de nombreux faux pas. À « En quelle année Camille Cerf a-t-elle été élue Miss France ? », plusieurs candidates ont répondu 2015. La bonne réponse était pourtant 2014, année régulièrement confondue. Autre piège : le Youtubeur français le plus suivi. Beaucoup ont répondu Squeezie, mais c’est Tibo InShape qui domine désormais la plateforme. Miss Bourgogne a même rappelé qu’il venait de prendre l’avantage « il n’y a pas si longtemps ».

Des perles inattendues qui font sourire

Comme chaque année, quelques réponses ont fait rire l’équipe encadrante. À la question : « Quel peintre a donné son nom à une couleur ? », une candidate a assuré : « Monet ! Le bleu Monet ! », provoquant la surprise générale. Les abeilles ont également posé problème : l’une répond « pollinisent », vite reprise par une autre qui a lancé « pollonisent », réinventant au passage la biologie. L’expression « Rira bien qui rira le dernier » s’est transformée en un improbable « rira bien qui rira en dernier ».