Meghan Markle : ce texto envoyé en toute discrétion à son ex-mari de fiction
Meghan Markle, autrefois actrice dans la série à succès « Suits », a dû abandonner sa carrière d’actrice en 2018 pour intégrer la famille royale britannique.
Depuis son départ du palais, elle n’a pas repris le chemin des plateaux de tournage, mais a maintenu des liens significatifs avec son passé, notamment avec Patrick J. Adams, son partenaire à l’écran.
Après sept saisons dans « Suits », Meghan Markle a mis fin à sa carrière d’actrice, un changement radical imposé par son nouveau rôle au sein de la famille royale.
Cette décision souligne les incompatibilités entre les exigences de sa vie d’actrice et les attentes de la royauté.
Bien qu’elle ait quitté la famille royale, elle n’a pas cherché à relancer sa carrière d’actrice, optant plutôt pour d’autres formes d’engagement public et privé.
Liens maintenus avec le monde du spectacle
Malgré les années et les changements de statut, Meghan a gardé contact avec son ancien collègue de « Suits », Patrick J. Adams.
Ce dernier a partagé comment, après une longue période sans communication directe, il a reçu un message chaleureux de Meghan, exprimant son soutien pour le podcast qu’il a lancé sur la série, une initiative qui témoigne de l’impact durable de leurs années de collaboration.
L’amitié persiste malgré les distances
Dans son podcast, Patrick J. Adams évoque également les débuts de leur collaboration, rappelant combien leur amitié préexistante avait facilité leur alchimie à l’écran.
« C’était assez clair qu’elle allait obtenir le rôle, » se souvient-il, soulignant l’aisance naturelle et la complicité qui les liait durant les auditions.
Ces souvenirs mettent en lumière une relation professionnelle marquée par le respect mutuel et une entente profonde.
Le créateur de « Suits », Aaron Korsh, a révélé dans une interview que l’influence de la famille royale s’était parfois fait sentir sur la série, obligeant à des modifications scénaristiques.
Cette interférence, bien que mineure, était source de frustrations, illustrant les tensions entre les exigences de la royauté et les libertés créatives de l’industrie du divertissement.