Meghan et Harry qualifiés d’« expérience misérable » par le photographe de leur mariage
Le photographe Arthur Edwards, connu pour sa longue carrière dans la couverture d’événements royaux, a partagé une perspective peu flatteuse sur le mariage de Meghan Markle et du prince Harry.
Dans un article publié par le Sun le 31 mai 2024, Edwards décrit le mariage, qui a eu lieu le 19 mai 2018, comme une expérience « misérable ».
Selon lui, c’était le « pire mariage royal » qu’il ait jamais couvert, principalement en raison des restrictions imposées aux photographes, qui les maintenaient à une distance excessive de la cérémonie.
Les défis des photographes
Les photographes accrédités, dont Arthur Edwards, ont été contraints d’utiliser des objectifs à très longue portée pour capturer les moments de la journée.
Edwards spécifie qu’il a utilisé un objectif de 800 millimètres pour photographier les invités, tandis que les photographes engagés par le couple étaient bien plus proches de l’action.
Cette distance a rendu difficile la capture de photos claires et détaillées, ce qui a grandement frustré Edwards et d’autres photographes présents.
La Frustration d’Arthur Edwards
La frustration d’Edwards ne se limitait pas uniquement à la distance. Il regrette particulièrement de ne pas avoir pu obtenir de bonnes prises du couple sortant de la cérémonie en calèche, un moment clé de tout mariage royal.
Il décrit l’ensemble de l’expérience comme « sans espoir », marquée par une série de décisions qui, selon lui, ont empêché les médias de faire correctement leur travail.
La gestion de l’espace et des accès a clairement laissé un goût amer chez ce vétéran de la photographie royale.
L’impact sur la couverture médiatique
La décision de restreindre l’accès des photographes a eu un impact significatif sur la qualité et le type de couverture médiatique que le mariage royal a reçue.
Les images, souvent floues ou prises de trop loin, ne rendaient pas justice à la grandeur et au détail de l’événement, contribuant ainsi à une représentation médiatique moins spectaculaire que prévu.
Cette situation soulève des questions sur l’équilibre entre la vie privée et l’accès des médias lors d’événements de grande envergure, surtout dans le contexte royal.