Mauvaise expérience pour Sophie Davant qui tente la chirurgie esthétique, « Une bouche de canard »
Depuis plus de quarante ans, Sophie Davant fait partie des visages les plus familiers du petit écran.
Animatrice emblématique passée par la météo, Fort Boyard, C’est au programme ou encore Affaire conclue, elle a marqué plusieurs générations de téléspectateurs. Aujourd’hui, après son départ de France Télévisions, elle se confie sans fard sur un épisode bien moins glamour : son tout premier essai de médecine esthétique, qui a viré à la catastrophe.
Invitée sur RTL le 15 novembre 2025, Sophie Davant a raconté à Éric Dussart comment elle avait vécu une mésaventure qu’elle n’oubliera jamais. Elle ne devait absolument pas subir de soin esthétique ce jour-là : elle accompagnait simplement un ami dans une clinique, « pour lui faire plaisir », alors qu’elle animait encore C’est au programme.
Une fois sur place, surprise : le personnel lui propose d’essayer des injections, sans qu’elle ne l’ait demandé. Spontanée, curieuse, parfois un peu “folle dingue” selon ses mots, elle se dit : « pourquoi pas ». Ce qu’elle n’avait pas prévu… c’est que le praticien manquait clairement d’expérience.
« Je suis ressortie avec une bouche de canard »
À peine les injections terminées, Sophie Davant comprend que quelque chose ne tourne pas rond. Le résultat est spectaculaire, mais pas dans le bon sens. « Je suis ressortie avec une bouche de canard », confie-t-elle en riant aujourd’hui, même si sur le moment, la panique l’a submergée.
L’animatrice doit pourtant assurer un direct chaque matin. Impossible de se cacher. Elle se souvient encore du choc de son compagnon William Leymergie : « Quand William m’a vue arriver le matin, je vous raconte pas… ». Pour ne pas sombrer, elle choisit d’en rire : « J’étais tellement catastrophée que je riais bêtement ».
Une auto-dérision qui lui ressemble, et qui lui a permis de traverser cette période embarrassante.
Pas hostile à la chirurgie, mais vigilante
Malgré cet épisode “horrible”, comme elle le qualifie elle-même, Sophie Davant ne rejette pas la médecine esthétique. Elle avoue y avoir eu recours “pour certaines petites choses”, sans entrer dans les détails, mais toujours avec mesure.
Ce qu’elle déplore, en revanche, c’est la dérive de certains visages figés par les injections excessives :
« Ce que je trouve dommage, c’est quand les visages changent tellement qu’ils deviennent méconnaissables. »
Pour elle, si la chirurgie permet simplement d’avoir « l’air reposé », alors pourquoi pas — tant que cela reste naturel, discret et respectueux de l’identité de chacun.
