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Léa Salamé rhabillée pour l’hiver par Patrick Sébastien « pour 1000 raisons »

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Depuis plusieurs années, Patrick Sébastien cultive l’image d’un franc-tireur médiatique. Sans filtre et sans calcul, il dit ce qu’il pense, quitte à déclencher des tempêtes.

Récemment, lors d’un passage dans l’émission « Le Crayon », il a une nouvelle fois confirmé qu’il n’avait rien perdu de son sens du contre-pied et de la provocation. Patrick Sébastien a toujours revendiqué une conception précise de l’entertainment. Pour lui, la télévision doit rassembler, faire rire et émouvoir, non mettre les individus en compétition ou en opposition. C’est pourquoi il refuse catégoriquement de participer à l’émission Les Traîtres, dont il critique la mécanique : trahison, manipulation, éliminations successives. Il estime que ce type de programme ne correspond pas à sa philosophie, davantage tournée vers la fête et le collectif. Un refus qui illustre la cohérence de son parcours, mais aussi une certaine nostalgie d’une télévision « plus humaine » selon lui.

Son franc-parler ne s’arrête pas là. L’ancien pilier du service public ne manque jamais une occasion de rappeler la manière dont il a été écarté de l’antenne, après des années de bons et loyaux services. Récemment, il a refusé de participer à une édition spéciale des Enfants de la télé, jugeant que l’invitation arrivait tard et manquait de sincérité. Pour lui, France Télévisions a tourné la page sans élégance, et il ne souhaite pas faire semblant d’oublier.

Léa Salamé, cible principale de sa dernière sortie

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Mais c’est surtout Léa Salamé qui s’est retrouvée au cœur de sa colère. Lors de son entretien, Patrick Sébastien n’a pas mâché ses mots : « Je n’aime pas cette nana pour mille raisons », a-t-il lâché sans détour.
Il évoque notamment son passage dans Quelle Époque !, où l’animatrice lui aurait reproché d’avoir écrit dans un livre que « toutes les femmes sont des salopes ».
Il affirme qu’il n’a jamais tenu de tels propos et qu’en demandant à la journaliste de lui montrer la page en question, celle-ci aurait répondu avoir « oublié le livre à la maison ».
Ce souvenir, selon lui, symbolise une manière de faire qu’il juge malhonnête et destructrice, où l’on cherche à piéger plutôt qu’à comprendre.

Une critique plus large du monde médiatique

Si Léa Salamé concentre l’attention, la critique de Patrick Sébastien est plus globale. Il se dit lassé d’une télévision où le débat d’idées se transforme en confrontation permanente, où l’on cherche à provoquer plutôt qu’à éclairer.
Pour lui, la parole médiatique est devenue un terrain où l’on gagne en visibilité en attaquant les autres, non en construisant quelque chose. Son discours peut déranger, mais il révèle une inquiétude réelle sur l’évolution du paysage audiovisuel.

L’ex-animateur ne s’est pas arrêté au domaine médiatique. Il a également visé Jean-Luc Mélenchon, qu’il juge à la fois convaincu et stratège. Selon lui, le leader de La France insoumise entretiendrait un lien opportuniste avec une partie de l’électorat musulman, profitant du système public de financement des partis.
Au-delà des enjeux politiques, il critique le fonctionnement interne du mouvement : « Moi, je suis un insoumis. Eux, ils sont soumis à leur chef. »
Une punchline qui condense sa vision : la liberté de parole avant tout, quitte à provoquer.

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