15 49.0138 8.38624 1 1 10000 1 https://fr.housetherapie.com 300
Publicité:
Publicité:

Léa Salamé a fait “regretter la garde à vue” à Nicolas Bedos : sa pique acide après Quelle époque !

Après avoir été condamné pour agressions sexuelles, Nicolas Bedos tente de se reconstruire à travers un livre confession. Mais son retour sous les projecteurs est loin d’être paisible.

Publicité:

Entre introspection, critiques acerbes et soutien amoureux, le réalisateur avance sur une corde raide, tiraillé entre passé trouble et désir de rédemption. Avec La soif de la honte, Nicolas Bedos se livre sans détour, dans ce qu’il qualifie lui-même de « réquisitoire contre (lui)-même ». Publié aux éditions de l’Observatoire, l’ouvrage paraît quelques mois après sa condamnation à un an de prison, dont six mois ferme sous bracelet électronique. À travers ces pages, le réalisateur confesse : « J’ai été un homme égoïste, irresponsable, inconséquent, et j’ai fait beaucoup de peine. » Un mea culpa assumé, qui sonne comme une tentative de reconstruction morale, mais qui peine à convaincre tout le monde.

Une confrontation tendue sur un plateau télé

Le samedi 3 mai, Nicolas Bedos était l’invité de l’émission Quelle époque !, animée par Léa Salamé. Venu promouvoir son livre, il s’est retrouvé confronté à Paul de Saint-Sernin, humoriste connu pour ses interventions mordantes. Depuis le public, celui-ci n’a pas hésité à le piquer avec ironie en lançant : « Tout l’argent récolté par ce livre va être reversé à une association de victimes. Tu ne le sais pas, je viens de le décider. » Une provocation directe sur le thème du consentement, qui a visiblement irrité l’auteur.

Publicité:

L’humour pour dénoncer… au risque du malaise

« C’est sérieux ce qu’on dit, c’est sérieux », a tenté de répliquer Nicolas Bedos, manifestement ébranlé par cette intervention moqueuse. Mais Paul de Saint-Sernin, implacable, a poursuivi : « C’est une manière de te montrer que c’est important, le consentement. » En décidant « sans [lui] demander son avis », l’humoriste a volontairement retourné la logique du non-consentement contre le réalisateur. Un moment de télévision tendu, qui a laissé Bedos sans voix, seul face à une pique qui résonnait bien au-delà du trait d’humour.

Le poids de l’interview, plus lourd que la garde à vue

Quelques jours plus tard, dans une interview au Figaro, Nicolas Bedos est revenu sur cet échange houleux. « L’interview m’a presque fait regretter la garde à vue. Les policiers sont beaucoup moins obtus », a-t-il lâché, signe de son profond malaise face à la médiatisation de son cas. Si ce retour en plateau visait à expliquer sa démarche, le résultat semble avoir été à l’opposé de ses attentes.

Publicité:

Un soutien indéfectible dans la tempête

Heureusement pour lui, le réalisateur peut encore compter sur sa compagne, Pauline Desmonts. Sur Instagram, elle a partagé un extrait de l’émission en déclarant : « Ni défense, ni posture. Juste un homme (le mien) qui cherche à comprendre. » Un message de solidarité discret mais fort, alors que son compagnon traverse une période de remises en question publiques et privées.

Une relation amoureuse marquée par les excès

Dans son ouvrage, Nicolas Bedos évoque aussi les fragilités de son couple, révélant que Pauline avait envisagé de le quitter bien avant que n’éclate l’affaire. « Elle vivait mes excès et mes contradictions comme une mise à l’épreuve permanente », écrit-il. De leur union est née Joséphine, en 2023, une fille à qui il espère, peut-être, transmettre autre chose qu’un nom lourd de controverses. Le récit de cette crise conjugale donne une dimension plus intime à son processus de repentance, entre aveux publics et drames silencieux.

Publicité:

Publicité:

Merci pour le partage!