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Laeticia Hallyday soulagée : ces 7,7 millions d’euros qu’elle va pouvoir rembourser

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Sept ans après la disparition de Johnny Hallyday, une page se tourne définitivement pour Laeticia. La mythique villa de Marnes-la-Coquette, théâtre des derniers jours du rockeur, a enfin trouvé preneur. Une vente qui marque la fin d’un cycle et pourrait alléger, un tant soit peu, le lourd fardeau fiscal qui pèse encore sur sa veuve.

C’est une vente attendue depuis des années qui s’est concrétisée ce 19 juin : Savannah, la propriété de Johnny et Laeticia Hallyday, a été officiellement vendue. Située à Marnes-la-Coquette, dans les Hauts-de-Seine, la somptueuse demeure de 1 000 m² habitables entourée de 5 000 m² de terrain, restait sur le marché depuis janvier 2018, soit un mois après la mort du rockeur. L’annonce a été faite par Closer, précisant que le montant exact de la transaction n’a pas été divulgué, mais que la maison était récemment estimée à 10,5 millions d’euros.

Cette vente constitue un tournant symbolique dans la vie de Laeticia Hallyday, longtemps attachée à ce lieu chargé de souvenirs. C’est là que Johnny s’est éteint, c’est là aussi qu’une partie du mythe s’est figée. Tourner la page de Savannah, c’est sans doute refermer l’un des chapitres les plus lourds de son existence.

Une libération financière partielle pour Laeticia Hallyday

Outre la dimension émotionnelle, la vente de la villa représente une véritable bouffée d’oxygène sur le plan financier. Depuis la disparition de Johnny, sa veuve s’est retrouvée confrontée à une montagne de dettes, estimée initialement à 33 millions d’euros. Un tiers de cette somme devait être couvert par les sociétés Navajo et Artistes & promotions, qu’elle a héritées après le décès de son époux.

Acculée, Laeticia avait tenté de trouver des accords avec le fisc pour alléger sa charge, notamment en plaçant les deux entreprises en procédure de sauvegarde. L’objectif : négocier des délais ou des remises. Mais les discussions avec l’administration fiscale se sont révélées infructueuses. En avril dernier, L’Informé rapportait qu’elle proposait un paiement immédiat de 1,9 million d’euros en échange de l’abandon du reste de la dette. Une proposition que Bercy a fermement rejetée.

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Un ultime recours qui n’aboutit pas

Malgré un allègement partiel de la somme à rembourser, les marges de manœuvre de Laeticia Hallyday se sont réduites. L’État avait accepté de retrancher 3,2 millions d’euros de la dette finale, ramenant celle-ci à 7,7 millions. Mais cette remise était conditionnée à l’arrêt de toute procédure judiciaire de contestation. Or, Laeticia a persisté dans sa démarche et saisi le tribunal administratif de Paris pour faire valoir ses droits.

La réponse de la justice fut sans appel : Laeticia Hallyday n’est pas considérée comme étant en situation de détresse économique, et doit donc s’acquitter de ses obligations. Le tribunal a jugé que les arguments de la mère de Jade et Joy ne justifiaient pas d’exonération supplémentaire, ni de traitement privilégié. Le message est clair : le statut de veuve de star ne dispense pas de respecter les règles fiscales.

Une nouvelle étape, entre deuil, réalités et responsabilités

La vente de Savannah, bien que salvatrice sur le plan économique, marque surtout la fin d’une époque. Pour Laeticia, c’est l’occasion d’avancer, de reconstruire un quotidien sans les attaches d’un passé lourd à porter. Même si les dettes ne sont pas totalement effacées, le fruit de cette transaction pourrait couvrir une part importante de ce qu’elle doit encore à l’administration française.

Cette opération pourrait ainsi servir de tremplin vers une forme de stabilisation, après des années de polémiques, de batailles juridiques et d’expositions médiatiques. Mais elle rappelle aussi que derrière les façades glamour de la célébrité, les réalités financières peuvent rattraper les plus grands noms. Et dans ce domaine, même les légendes ne sont pas immortelles.

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