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Laeticia Hallyday : ses finances au plus mal ? Le tribunal pointe des mensonges pas jolis-jolis

Près de sept ans après la mort de Johnny Hallyday, les dettes fiscales colossales laissées par le rockeur continuent de hanter sa veuve, Laeticia Hallyday.

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Malgré des tentatives répétées pour alléger la note, la justice vient de confirmer que ni elle ni les sociétés héritées ne peuvent prétendre à un effacement conséquent de cette dette publique.

Une dette monumentale au cœur de l’héritage Hallyday

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À sa disparition le 5 décembre 2017, Johnny Hallyday ne laisse pas seulement une légende musicale : il lègue aussi une dette fiscale estimée à 33 millions d’euros. Une charge que Laeticia Hallyday doit désormais assumer, notamment via deux sociétés françaises dont elle a hérité, Navajo et Artistes & Promotions. Ces structures, liées à l’activité artistique du chanteur, concentrent aujourd’hui une part importante du passif fiscal, devenant l’objet de litiges récurrents entre la veuve du rockeur et le fisc français.

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La stratégie judiciaire de Laeticia Hallyday pour alléger l’ardoise

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Depuis plusieurs années, Laeticia Hallyday multiplie les recours pour réduire l’ampleur de la dette. En 2019, elle avait placé les deux entreprises concernées en procédure de sauvegarde, un mécanisme juridique permettant d’étaler le remboursement des créances dans le temps. Parallèlement, elle engage des discussions avec l’administration fiscale dans l’espoir d’une remise partielle. Elle propose alors un accord à l’amiable : payer 1,9 million d’euros immédiatement et abandonner les 9 millions restants. Une offre sèchement refusée par Bercy.

Un allègement partiel refusé par la justice

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En 2022, une avancée partielle semblait possible. Le ministère de l’Économie accepte finalement de renoncer à 3,2 millions d’euros correspondant aux pénalités pour “mauvaise foi”, à condition que Laeticia renonce à toute contestation en justice et s’engage à régler les 7,7 millions d’euros restants. Mais la veuve refuse cet accord, considérant toujours cette somme comme injuste, et dépose un recours administratif.

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Le verdict du tribunal administratif de Paris

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La décision du tribunal vient désormais mettre un point final à ce bras de fer judiciaire. Dans son jugement, le tribunal administratif de Paris rappelle que les remises fiscales ne peuvent être accordées que si le contribuable se trouve en “situation de gêne ou d’indigence”. Or, selon la juridiction, Laeticia Hallyday n’est pas dans ce cas de figure. « L’ancien mannequin n’est pas dans la misère », tranche le tribunal, qui estime également que les sociétés Navajo et Artistes & Promotions sont parfaitement en mesure de régler les sommes dues.

Les origines controversées du redressement

Le contentieux trouve sa source dans les choix fiscaux de Johnny Hallyday lui-même. Avant sa mort, l’artiste avait mis en place un montage d’optimisation fiscale jugé excessif, voire abusif, par l’administration. Ce montage a conduit à des pénalités lourdes de 40 % pour “manquement délibéré”. Laeticia Hallyday a tenté de faire valoir le caractère disproportionné de ces sanctions, mais le tribunal a confirmé la légitimité du redressement, affirmant que le ministre pouvait “tenir compte du comportement du contribuable et des faits à l’origine des rappels d’imposition”.

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