“La vulgarité incarnée… » Erice Naulleau tape fort sur Aya Nakamura et cette fois, c’est une goûte de trop
La présence d’Aya Nakamura lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 continue de faire débat. Récemment, sur le plateau de « Touche Pas à Mon Poste » animé par Cyril Hanouna, Éric Naulleau a réitéré ses critiques envers la chanteuse, soulignant qu’elle ne serait pas une représentante adéquate pour un événement d’une telle ampleur.
Selon Naulleau, la participation de Nakamura à l’événement est une erreur en raison de son style musical, qu’il qualifie de « muzak » ou de musique mondialisée, critiquant l’usage de l’autotune et sa manière de traiter la langue française. Il a exprimé une opinion forte en disant que la chanteuse symbolise « la vulgarité » et qu’elle ne correspond pas à l’image de « classe et d’élégance » que la France souhaite projeter à travers le monde.
Cette position est soutenue par Naulleau malgré les défenseurs de Nakamura, dont certains artistes comme Hugues Aufray et des figures de la musique française comme Patrick Bruel et Benjamin Biolay, qui ont pris sa défense. Ces artistes soulignent son succès international et la considèrent comme une partie valable de la diversité culturelle française.
Le débat s’est intensifié lorsque Cyril Hanouna a proposé d’autres artistes français tels que David Guetta, Soprano, ou Vianney comme alternatives pour l’événement, suggérant qu’ils pourraient être des choix plus représentatifs de la France pour la cérémonie d’ouverture des JO.
Cette controverse met en lumière non seulement des opinions divergentes sur qui devrait représenter la France sur la scène mondiale, mais également les tensions sous-jacentes autour de la perception de la musique moderne française et de son intersection avec l’identité nationale. La discussion autour de Nakamura et des Jeux Olympiques de Paris devient ainsi un reflet des débats plus larges sur la culture, l’identité et l’inclusion en France aujourd’hui.