Lors d’une séance de dédicaces à Nice, Jordan Bardella a vécu un moment inattendu et chargé d’émotion : son ancienne institutrice de CE2 est venue le saluer.

Une rencontre simple, presque intime, au milieu de la foule, qui a rappelé que derrière la figure publique existe aussi un ancien écolier, avec son histoire et ceux qui l’ont accompagné. En pleine tournée de promotion de son livre Ce que veulent les Français, paru le 29 octobre aux éditions Fayard, Jordan Bardella a été surpris par la présence de son ancienne professeure des écoles.
La rencontre s’est déroulée à Nice, où l’eurodéputé dédicaçait son ouvrage.
L’enseignante, visiblement émue, a tenu à lui dire sa fierté : « Comment je suis fière de t’avoir eu parmi mes élèves », lui a-t-elle lancé en souriant.

L’institutrice se souvient parfaitement de son ancien élève

Plus de vingt ans après, elle n’a pas oublié le sérieux du petit garçon qu’il était. Elle s’est même rappelé ses notes, précises : « Entre 17,2 et 18,5 à la fin de l’année ».
Une mémoire qui témoigne de son attachement.
De son côté, Jordan Bardella a accueilli ces mots avec un sourire presque enfantin, répliquant : « Bien sûr, j’étais un très bon élève. »

Comme beaucoup de professeurs, elle espérait que certains de ses élèves suivraient une trajectoire remarquable. « Je leur avais dit : peut-être qu’un jour, j’aurai un président de la République parmi mes élèves », a-t-elle confié.
Une phrase lourde de sens, adressée à celui qui pourrait aujourd’hui se retrouver dans cette course vers le plus haut sommet de l’État.

Une accolade pleine de chaleur

Avant de quitter la séance, l’enseignante a tenu à rappeler l’importance qu’il a eue parmi sa classe : « J’en ai eu des bons… tu étais parmi les six. »
Un compliment direct, simple et sincère.
Le député l’a alors enlacée, dans une scène qui a légèrement suspendu le temps, loin des micros et des affrontements politiques.

La vidéo de ces retrouvailles, publiée par Jordan Bardella sur Instagram, a immédiatement séduit les internautes.
Certains ont souligné sa réaction, mêlant pudeur et émotion : « On dirait qu’il redevient enfant », a écrit un utilisateur.
D’autres y ont vu un signe d’authenticité : « Cet homme est vrai. »
En légende, le président du Rassemblement national s’est contenté d’un cœur — comme pour laisser parler l’image plutôt que le discours.