Un échange vif et parfois confus a animé le plateau de « Quelle Époque » sur France 2, concernant la nationalité du célèbre chanteur Johnny Hallyday.

Cette discussion a surgi après la diffusion de la chanson « Ma Gueule » lors d’un segment dédié aux musiques belges, soulevant des questions sur l’identité nationale de l’artiste.

Controverse sur la scène médiatique

Le débat a pris une tournure passionnée quand certains chroniqueurs ont remis en question l’origine belge de Johnny Hallyday. « Il n’est pas Belge, Johnny, » a insisté un participant, tandis qu’un autre ajoutait, « Son père était Belge, mais pas lui. » Cette discussion a rapidement capté l’attention de tous les présents, provoquant une légère confusion et une série de répliques tranchantes entre les intervenants.

Clarification par Léa Salamé

Léa Salamé, modératrice du débat, a tenté de calmer les esprits en rappelant que Johnny Hallyday, né Jean-Philippe Smet, avait bien un lien avec la Belgique par son père, mais était de nationalité française. « Il n’y a pas de polémique à avoir sur la nationalité de Johnny, » a-t-elle déclaré, tentant de ramener le calme sur le plateau.

Détails historiques et légaux

Au cœur de la controverse, des détails sur les tentatives de Hallyday de récupérer la nationalité belge ont été discutés. En 2006, il avait exprimé le désir de réclamer cette nationalité, probablement dans le cadre d’un projet de résidence à Monaco, mais cette demande fut refusée à cause des restrictions sur la double nationalité à cette époque. « La Belgique lui a refusé la nationalité, » a expliqué Christophe Dechavanne, clarifiant que la loi ne permettait pas à un Français de résider à Monaco en tant que Belge.

Réflexions personnelles de Johnny

Johnny Hallyday lui-même avait abordé ce sujet dans une interview, exprimant son choix définitif de rester Français après avoir envisagé de redevenir Belge. « Je suis Français. Je reste Français. J’ai changé d’avis, » avait-il déclaré, mettant en lumière sa décision influencée par les critiques lors de son installation à Gstaad. Il avait souligné son attachement à la France en mentionnant les impôts qu’il y avait payés.