Il y a plus de six ans, le 5 décembre 2017, le monde de la musique française perdait une de ses plus grandes icônes, Johnny Hallyday, décédé à son domicile de Marnes-la-Coquette à l’âge de 74 ans, après une lutte contre le cancer du poumon.

Récemment, Sébastien Farran, son dernier manager depuis mars 2012, a partagé des détails poignants sur les derniers moments de la star dans une interview accordée au Point.

Farran a décrit Johnny Hallyday comme un véritable combattant, soulignant son courage face aux traitements du cancer, malgré la douleur et la peur constante de la mort.

« Il avait toujours peur de la mort, mais ce n’était pas son premier cancer, il pensait qu’il le vaincrait, comme les autres, » a-t-il confié, ajoutant que Laeticia et son entourage y croyaient jusqu’au bout.

Cette détermination reflétait l’esprit d’un « sportif combattant » que Johnny entretenait tout au long de sa carrière.

Toutefois, la mort de Johnny a également ouvert la porte à une période tumultueuse marquée par une bataille médiatique et juridique autour de son héritage.

Farran a critiqué la manière dont les médias ont traité l’affaire, accusant certains d’avoir une « attitude criminelle » et de diaboliser les proches du chanteur pour vendre des histoires. Il a exprimé sa frustration face à l’étalage public de ce qu’il considérait comme une affaire privée et complexe, relevant plutôt de la « thérapie familiale. »

Dans cette même veine de pensée, David Hallyday, un des fils de Johnny, a également exprimé son désintérêt pour l’héritage lors d’une interview avec Europe 1, affirmant qu’il n’avait « besoin de rien » et préférant se concentrer sur les aspects positifs de sa relation avec son père.

Malgré la dispute autour de l’héritage, David a manifesté son désir de réconciliation avec ses demi-sœurs, Jade et Joy, affirmant que sa porte leur était toujours ouverte, comme il l’a réitéré dans l’émission Focus Dimanche sur RTL.