Adriana Karembeu se trouve sous les projecteurs de l’actualité avec la parution de son ouvrage intitulé « Libre », publié aux éditions Leduc.

Dans cette œuvre, elle plonge non seulement dans les méandres de son enfance, mais également dans les mémoires de ses années d’études en médecine, sa trajectoire en tant que mannequin, ainsi que ses deux unions matrimoniales, mettant en lumière avant tout l’avènement de sa fille bien-aimée, Nina.

Le 16 avril dernier, en légende d’une publication exposant son projet, elle a distillé quelques réflexions supplémentaires. « J’ai pris conscience que le fil conducteur de mon existence a toujours été le désir ardent de liberté !

En mon jeune âge, c’était une impérative nécessité, tandis qu’à l’âge adulte, le monde du mannequinat s’est révélé être le sésame ouvrant les portes de ma liberté ! J’avais alors accès à un univers épanoui ! Cette liberté, telle une vigie, m’a guidée à travers les méandres du mannequinat jusqu’aux lumières du petit écran, tout en irriguant les méandres de ma vie privée.

Cette liberté conquise, ce livre, je le dédie à toutes les petites filles, à l’instar de toi, Nina. Voici le chemin que j’ai tracé pour goûter à la liberté chaque jour… À toi désormais de dessiner ta propre voie, à mes côtés », a-t-elle confié sur Instagram.

Dans la frénésie de la promotion de son nouveau chef-d’œuvre littéraire, Adriana Karembeu se multiplie sur les plateaux télévisés. Le samedi 4 mai dernier, elle s’est entretenue avec Éric Dussart et Jade dans l’émission « On refait la télé », retransmise sur RTL.

Dans un extrait en exclusivité dévoilé par Télé-Loisirs, elle a évoqué un épisode traumatisant où elle a frôlé la perte de son enfant lors d’un tournage. « C’était d’une horreur sans nom », a-t-elle amorcé. Et de poursuivre : « À cette époque, je porte la vie.

Je découvre ma grossesse la veille du tournage. Il s’agissait du tournage pour l’émission Les Pouvoirs Extraordinaires du Corps Humain, où nous nous envolions pour la Laponie, plongée dans les glaces. Je suis enceinte de deux, voire trois semaines ».

Elle informe alors Peggy Olmi, la productrice de l’émission, de sa situation. « Aucun membre de l’équipe n’était au courant. Je redoutais toute mauvaise augure. Nous devions parcourir un long chemin en motoneige (…) Elle m’a assuré : ‘Ne t’en fais pas, c’est plat’.

Effectivement, pas de relief, aucune aspérité, mais ces frétillements incessants de la motoneige… Nous atteignons notre destination (…) Et là, un saignement commence, la fin du monde. Aux toilettes, je ressens le néant », rembobine-t-elle. À ce moment-là, elle pensait avoir perdu son enfant.

L’histoire continue, avec Adriana Karembeu livrant la suite de son récit, émue aux larmes. « Je m’effondre, je reste là, étendue, un temps infini, jusqu’à ce que la productrice vienne à moi (…) Elle s’effondre à son tour.

Nous pleurons toutes deux car… » articule-t-elle, en pleurs. Puis, elle enchaîne : « C’était la fin. Le jour suivant, elle m’emmène consulter un médecin (…) Direction le gynécologue.

Sur l’échographie, pas de trace du bébé, une confirmation supplémentaire de la fin. Je rentre à Paris, une nouvelle échographie est pratiquée par acquis de conscience et là (…) le gynécologue annonce : ‘Tout va bien. Il est là’. Une situation tout bonnement ahurissante ».