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Jamel Debbouze : combien ça coûte de manger dans son restaurant parisien où la cuisine méditerranéenne est à l’honneur ?

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Perché au sommet de l’Institut du Monde Arabe, Dar Mima n’est pas seulement un restaurant.

C’est une ode aux racines, un écrin vibrant de mémoire et de passion où Jamel Debbouze célèbre l’héritage culinaire de sa mère, Fatima. Entre gastronomie marocaine et ambiance festive, l’adresse s’impose comme un lieu d’émotion autant que de dégustation. Depuis mars 2023, Jamel Debbouze est à la tête de Dar Mima, un restaurant qui porte l’empreinte indélébile de son histoire familiale. Conçu en collaboration avec le restaurateur Laurent de Gourcuff, cet établissement situé au neuvième étage de l’Institut du Monde Arabe est bien plus qu’une adresse gastronomique : c’est une déclaration d’amour à sa mère. Sur le site officiel, l’humoriste écrit avec tendresse : « Mima, tout me ramène à toi, à l’amour que tu distilles depuis toujours dans le moindre de tes gestes, dans le moindre de tes plats. »

En créant Dar Mima, Debbouze n’a pas simplement souhaité ouvrir un restaurant ; il a voulu rendre hommage aux saveurs de son enfance, aux odeurs qui habitaient la cuisine familiale, aux plats mijotés dans le secret de la tradition. Le résultat est un lieu où la mémoire se savoure à chaque bouchée.

Une carte raffinée aux parfums de l’Orient

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Le menu de Dar Mima propose un véritable voyage sensoriel à travers les recettes emblématiques du Maroc. L’établissement met à l’honneur les mezze orientaux avec finesse et élégance : trilogie de houmous (27 €), bourek au fromage (18 €), brick au thon (21 €), pastilla d’agneau (26 €)… autant de mises en bouche savoureuses qui éveillent le palais.

Les plats principaux perpétuent cette immersion : le couscous de Mima (39 €), emblématique et généreux, cohabite avec un tajine de poulet (28 €) ou de kefta (26 €), subtilement relevés. Pour ceux qui souhaitent sortir des sentiers battus, un filet de daurade accompagné de riz parfumé (30 €) ou encore une côtelette d’agneau servie avec aubergines grillées et harissa maison (44 €) offrent une alternative savoureuse aux classiques.

Et le voyage ne s’arrête pas là. Les douceurs proposées sont autant d’invitations à prolonger l’expérience : riz au lait d’amande, pistaches et sorbet framboise (16 €), coupe glacée aux dattes et sorbet citron (15 €), ou encore le fameux Baklava de Mima avec sa glace corne de gazelle (12 €). Le tout accompagné d’un traditionnel thé à la menthe, évidemment.

Une atmosphère envoûtante entre tradition et modernité

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Dar Mima ne se contente pas de séduire par l’assiette : l’ambiance du lieu joue un rôle tout aussi essentiel. La salle, décorée comme un palais des Mille et Une Nuits, combine boiseries sculptées, velours profonds et tentures luxueuses. Le tout baigne dans une lumière tamisée, propice à l’évasion. La vue panoramique sur Paris achève de transformer chaque repas en expérience unique.

La musique occupe également une place centrale dans l’âme de Dar Mima. Trois à quatre soirs par semaine, l’établissement se transforme en scène vivante : concerts live mêlant percussions orientales et guitares modernes, accompagnés d’une playlist éclectique, renforcent cet esprit de convivialité joyeuse. La fête n’est jamais loin, mais elle reste élégante, presque feutrée.

Un lieu qui mêle émotion, héritage et excellence

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Dar Mima est à l’image de son fondateur : généreux, ancré, audacieux. Jamel Debbouze ne s’est pas contenté d’associer son nom à un projet gastronomique : il l’a investi de sa mémoire, de ses émotions, de son identité. À travers les plats de sa mère, il réinvente la transmission, transformant une table en récit vivant.

Le pari est réussi : Dar Mima s’impose aujourd’hui comme l’une des adresses les plus prisées de la capitale, entre tradition culinaire marocaine et élégance parisienne. Un lieu où l’on ne vient pas seulement manger, mais partager, célébrer, se souvenir. Un lieu, aussi, où l’amour se cuisine au présent.

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