Jalouse du fils de son compagnon, une reine de beauté commet l’irréparable… elle écope de la prison à vie…
La soirée Miss France 2026 devait rester un moment de fête et de lumière. Pourtant, à peine le couronnement d’Hinaupoko Devèze célébré, l’univers des concours de beauté s’est retrouvé de nouveau rattrapé par des scandales.

Entre polémiques en France et drame aux États-Unis, le milieu fait face à une série d’affaires qui ternissent son image. Alors que Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, a conquis le public et le jury ce samedi 6 décembre, une vidéo compromettante a rapidement détourné l’attention du couronnement. On y voit Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine) et Julie Zitouni (Miss Provence) tenir des propos déplacés envers d’autres candidates. Malgré leurs excuses publiques, le comité Miss France a choisi une sanction immédiate : destitution et remplacement par Solène Videau et Manon Job. Cette décision, rare dans l’histoire du concours, souligne la volonté de préserver l’exemplarité associée à la compétition.
Le concours Miss Universe également éclaboussé
Cette polémique intervient quelques semaines seulement après un autre épisode houleux : l’élection de Miss Universe avait été secouée par des divisions internes, des critiques de candidates et des soupçons pesant sur certains investisseurs. Là encore, l’image du concours s’en est trouvée fragilisée, alimentant les interrogations sur les coulisses de ces événements censés célébrer l’élégance et la diversité.

Aux États-Unis, un drame bouleverse le monde des concours
Mais la plus sombre des affaires s’est déroulée en Géorgie, où Trinity Poague, ancienne Miss Donalsonville, a été condamnée ce 5 décembre à la prison à perpétuité pour le meurtre du fils de son compagnon. Une histoire glaçante dans laquelle la jalousie aurait joué un rôle tragique. Selon les procureurs, la jeune femme de 20 ans aurait violemment frappé l’enfant de 18 mois pendant une trentaine de minutes. L’enfant, retrouvé inconscient sur un campus universitaire, n’a pas survécu à ses blessures malgré une prise en charge en urgence. L’autopsie a révélé une hémorragie cérébrale massive et une fracture du crâne, contredisant totalement l’excuse d’une supposée chute du lit avancée par l’accusée.
Une jalousie maladive révélée par les enquêteurs

Les messages retrouvés dans le téléphone de Trinity Poague ont dévoilé une obsession inquiétante. Elle reprochait à l’enfant l’attention que lui portait son compagnon, allant jusqu’à confier à une colocataire : « Il me déteste, et je le déteste. » Les procureurs ont mis en lumière une jalousie profonde, nourrie par le désir d’avoir un enfant avec ce dernier. Pendant le drame, le père du petit garçon s’était absenté seulement quelques minutes pour aller acheter de quoi dîner dans un supermarché.
Une journée d’horreur relatée par des témoins
Des étudiants du même dortoir ont raconté avoir entendu l’enfant pleurer durant des heures, avant qu’un silence inquiétant ne s’installe soudainement. Personne n’imaginait alors que l’irréparable venait d’être commis. À l’arrivée des secours, le nourrisson était dans un état critique. Malgré l’intervention rapide des équipes médicales, sa vie n’a pas pu être sauvée en janvier 2024.






