Jacques Legros ciblé par des plaintes : son coup de gueule en plein JT n’a pas été sans conséquence
La sixième saison de Mask Singer a démarré sur les chapeaux de roues ce vendredi 3 mai 2024, avec Camille Combal à la barre, et la première célébrité démasquée a réservé une belle surprise.
En effet, sous le costume du Hamster se cachait le journaliste Jacques Legros, une apparition inattendue qui a étonné les enquêteurs de cette nouvelle édition.
Figure emblématique du groupe TF1 depuis un quart de siècle, Jacques Legros a finalement signé son CDI avec la chaîne fin 2019, après avoir enchaîné les CDD pendant des années, à chaque remplacement.
Joker de Jean-Pierre Pernaut jusqu’à son départ en décembre 2020, il a ensuite pris le relais de Marie-Sophie Lacarrau pendant de longs mois lorsque celle-ci était indisponible en raison d’une kératite amibienne.
Récemment, il était sur le pont pour assurer la suppléance pendant les congés printaniers de la titulaire.
Un passé mouvementé : la controverse avec La Poste Il y a quelques années, le respecté Jacques Legros avait créé la surprise lors d’un JT de 13h en s’en prenant vivement au groupe La Poste.
Si les célèbres coups de gueule de Jean-Pierre Pernaut étaient légendaires, son joker n’était pas en reste, et il avait vertement critiqué l’entreprise en plein journal le 17 avril 2020, au cœur du confinement.
Il accusait alors La Poste de ne pas assurer son rôle de service public pendant la pandémie, évoquant même un « scandale ».
Ces propos avaient déclenché l’ire des postiers, ainsi que celle du PDG de La Poste, Philippe Wahl, avec qui Jacques Legros avait eu une conversation téléphonique.
Sur Europe 1 quelques semaines plus tard, il avait expliqué les raisons de sa colère : « J’attendais un colis dans un grand bureau de poste à Paris. J’étais dehors dans la file, logique étant donné qu’il y avait un filtrage à l’entrée.
Il y avait des personnes âgées avec des cannes autour de moi, et puis à 15h58, après une heure, une heure et demie d’attente sans aucune assistance, ils ont fermé la grille sur les mains des gens.
Les gens pleuraient, il y avait une dame qui attendait des médicaments. Je me suis dit : Tant pis pour les postiers, mais je dois défendre ces gens ». Ces déclarations, bien que quelque peu maladroites, n’ont pas valu de sanction de la part de son employeur.
