« Il n’a pas pleuré » : Bertrand Cantat face à la tombe de Krisztina Rády, la mère de ses enfants, un homme raconte
Le documentaire « De rockstar à tueur : le cas Cantat », récemment diffusé sur Netflix, a ravivé l’intérêt pour les sombres affaires entourant Bertrand Cantat, mettant en lumière de nouvelles révélations qui alimentent la controverse.
François Saubadu, compagnon de Krisztina Rády au moment de son décès en 2010, partage des détails perturbants, exacerbant l’image déjà trouble du chanteur. En 2003, Marie Trintignant succombait sous les coups de Cantat, et sept ans plus tard, Krisztina Rády se donnait la mort, le chanteur étant présent dans la maison lors de ces deux tragiques événements.
Dans le documentaire, un message vocal de Krisztina adressé à ses parents est révélé, dans lequel elle exprime une peur mortelle : « Salut maman, salut papa. C’est Krisztina à l’appareil… Bertrand est fou… Je ne peux sortir de cette situation saine et sauve… Hier, j’ai failli mourir, je n’arrive pas à respirer à cause de la peur.”
Anecdotes choquantes
Des récits de comportements troublants s’accumulent, notamment celui où Cantat, menaçant de se suicider si Krisztina le quittait, se serait mutilé lors d’un repas familial. Ces incidents dressent le portrait d’un homme au bord du gouffre, imprévisible et dangereux.
Un enterrement sous tension
Le témoignage de François Saubadu concernant les funérailles de Krisztina est particulièrement révélateur. Malgré une demande explicite de Cantat pour qu’il ne soit pas présent, Saubadu assiste à l’enterrement, qu’il décrit comme une « mascarade », avec un Cantat « nerveux » et apparemment impatient que la cérémonie se termine.
Découverte tragique par un enfant
Le documentaire détaille également le moment déchirant où Milo, le fils de Cantat et Krisztina, alors âgé de 12 ans, découvre sa mère pendue. L’impact de ce tragique événement sur un jeune enfant est inimaginable, et la lettre d’adieu laissée par Krisztina ne fait qu’ajouter à la douleur, décrivant Cantat comme le « dépositaire exclusif de souffrance ».