“Il n’a jamais travaillé !” : Valérie Trierweiler se paie Jordan Bardella
Au lendemain des élections législatives en France, où le Rassemblement National (RN) a obtenu 29,25% des votes, Valérie Trierweiler, journaliste renommée, a exprimé son inquiétude quant à l’ascension de Jordan Bardella, le jeune leader du RN. Invitée sur RTL, elle a partagé ses doutes et ses préoccupations face à l’expérience et au parcours de Bardella.
Critique de l’expérience de Bardella
Trierweiler s’est montrée particulièrement critique envers l’expérience de Bardella, questionnant sa capacité à diriger étant donné son jeune âge et son manque d’expérience professionnelle classique. « Comment on peut faire confiance à un jeune de 28 ans qui n’a pas fait d’études, qui n’a jamais travaillé et qui ne sait rien faire en dehors de ses fiches ? », a-t-elle interrogé, soulignant un contraste frappant avec des figures politiques établies comme Jacques Chirac, reconnu pour sa connaissance profonde de la France et son parcours distingué.
Comparaisons et préoccupations
Le débat a également touché à des comparaisons entre Bardella et d’autres figures politiques françaises. Trierweiler a insisté sur le fait que, contrairement à Chirac, Bardella manque de la même profondeur de connaissance et d’engagement envers la France, ce qui pourrait, selon elle, mener à une déception rapide de ses électeurs si jamais il accède à des postes de plus haute responsabilité.
Réflexion sur la dissolution de l’Assemblée nationale
Par ailleurs, Trierweiler a aussi commenté la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, y voyant un geste de désespoir politique qui reflète un échec personnel du président face à la montée du RN. Elle a comparé cette action à des décisions historiques d’autres présidents français qui ont choisi de ne pas se représenter face à un manque de soutien populaire.
Conclusion
Les commentaires de Valérie Trierweiler mettent en lumière une fracture perçue dans le paysage politique français, entre jeunes leaders manquant d’expérience et politiciens établis avec des carrières définies. Sa prise de position rappelle que l’expérience et la connaissance du terrain restent des critères importants pour de nombreux électeurs et observateurs politiques.
