Pour accompagner la sortie de son ultime album live, Je tire ma révérence, Sylvie Vartan enchaîne les apparitions médiatiques et revient avec émotion sur les grands chapitres de sa carrière.

Invitée dans C à vous aux côtés de son fils David Hallyday, elle a évoqué un souvenir étonnant : la réaction très jalouse de Johnny Hallyday à l’un de ses titres cultes. Sorti le 28 novembre, Je tire ma révérence immortalise la dernière tournée de Sylvie Vartan, un adieu scénique à un public qui la suit depuis plus de soixante ans. La chanteuse précise pourtant que la musique ne quittera pas sa vie : elle donnera prochainement des masterclass, transmission logique pour une artiste qui a façonné la scène française.
Sur le plateau de C à vous, elle partage ce retour en lumière avec David Hallyday, venu promouvoir son téléfilm Ardennes et son documentaire Hallyday par David, attendu le 10 décembre sur M6.

Quand Johnny Hallyday désapprouvait un de ses titres

Parmi les chansons présentes dans l’album live, figure La Plus belle pour aller danser, écrite par Charles Aznavour en 1964. Un titre incontournable… mais qui n’avait pas du tout plu à Johnny Hallyday, alors son fiancé.
Sylvie Vartan raconte que le rockeur, âgé de seulement 19 ans et très jaloux, avait jugé le morceau « trop osé ». Il lui aurait même lancé une crise en lui demandant comment elle pouvait chanter “de telles choses”.
Cette confidence rappelle avec tendresse le tempérament fougueux du Taulier, déjà bien affirmé malgré son jeune âge.

Un couple mythique entre passion et tumulte

Au-delà de cette anecdote, Vartan revient sur son histoire avec Johnny Hallyday : plus de 52 duos, une relation passionnelle, et la naissance de leur fils David. Leur mariage avait déclenché un chaos médiatique inattendu.
Dans Sylvie Vartan, vous et moi sur France 3, la chanteuse se souvient qu’ils avaient voulu célébrer leur union en secret, sans publier les bans. Malgré cela, une foule compacte les attendait, provoquant bousculades et inquiétude.
Elle confie avoir eu peur pour sa famille : son père malade, ses parents bousculés, sa grand-mère âgée. L’ampleur de la ferveur populaire les avait complètement dépassés.