Guerre d’héritage chez les Belmondo : ce SMS de Paul qui en dit long sur les tensions avec Florence et Stella
Le prestige du nom Belmondo, synonyme de grandeur dans le cinéma français, est aujourd’hui éclipsé par une querelle d’héritage entre les membres du clan.
Une histoire de désaccords financiers entre les enfants de l’icône Jean-Paul Belmondo capte l’attention, dévoilant une fracture profonde au sein de cette famille célèbre.
Les enfants de Jean-Paul Belmondo semblent avoir ouvert un chapitre tumultueux avec la gestion de son héritage.
Une enquête menée par Paris Match a permis de retrouver Florence Belmondo aux États-Unis, où elle révèle des tensions significatives.
Elle accuse son frère Paul de s’être approprié indûment « la moitié du capital » d’une entreprise, évaluée à 93 millions d’euros, affirmant que ce montant devrait être considéré comme un « don rapportable » à la succession.
Réponses et Répliques
Face à ces accusations, la réponse de Paul Belmondo est concise et fermée, se limitant à un SMS laconique :
« Pour l’instant je ne souhaite pas d’interview. Cela est une affaire privée. Je me réserve le droit d’action juridique. »
Cette déclaration suggère une volonté de garder les détails de cette affaire en dehors de la sphère publique, tout en ne niant pas les allégations portées contre lui.
Solidarité entre Sœurs
Dans ce contexte familial chargé, Florence et sa demi-sœur Stella se sont rapprochées, unissant leurs forces contre leur frère Paul.
Le litige s’étend aux dispositions de deux contrats d’assurance-vie, posant des questions sur la répartition des actifs de leur père.
En septembre, lors d’une audience, Florence a intensifié les accusations, traitant son frère de responsable de « trois recels successoraux », affirmant ainsi que lui et Stella en sont les victimes.
L’histoire ne se limite pas à des disputes internes; elle soulève également des interrogations sur la préparation et la clarté des dernières volontés de Jean-Paul Belmondo.
Avec trois testaments rédigés entre 2012 et 2019, dont le dernier nomme un notaire comme exécuteur testamentaire, le déroulement de cette succession semble destiné à se conclure dans l’arène judiciaire.