Grégoire Bonnet : la série Scènes de ménages lui a coûté son mariage
Depuis 2015, Grégoire Bonnet illumine les écrans avec son rôle de Philippe, le pharmacien dans « Scènes de ménages » sur M6.
Presque dix ans après ses débuts, cet engagement continue d’apporter à l’acteur autant de satisfaction professionnelle que de défis personnels, notamment en équilibrant sa vie familiale et sa carrière.
Un rôle marquant, une vie personnelle chamboulée
Interrogé récemment dans l’émission Censuré pour Télépro, Grégoire Bonnet a partagé des détails poignants sur la façon dont son engagement professionnel a influencé sa vie privée.
« J’ai commencé à être récurrent dans Nina et Scènes de ménages en même temps et j’étais au théâtre le soir. Cela m’a valu une séparation, » confiait-il, révélant les sacrifices parfois nécessaires pour poursuivre une carrière dans le théâtre et la télévision.
Le coût personnel de la célébrité
Malgré la fin de sa relation avec Aurélie, la mère de sa fille Églantine, Bonnet reste philosophique quant aux coûts et aux bénéfices de ses choix.
Il répondait avec une pointe d’humour à une remarque sur le coût élevé de sa carrière : « Ouais, mais j’ai gagné pas mal. »
Cette réflexion montre une reconnaissance des compromis faits et une appréciation des récompenses obtenues, tout en maintenant des relations cordiales avec son ex-partenaire, un équilibre qui n’est pas toujours facile à maintenir dans le monde du spectacle.
Un nouveau chapitre amoureux
Grégoire Bonnet a également partagé qu’il avait retrouvé l’amour, bien qu’il continue à vivre seul, une décision influencée par le désir de maintenir certaines indépendances.
« Elle a deux enfants et moi, les enfants des autres… Je les adore, mais il y a une implication, un engagement, un déménagement… En fait, je suis devenu très flemmard je crois, » expliquait-il.
Cette arrangement lui permet de conserver une certaine liberté tout en explorant une nouvelle relation amoureuse.
La solitude choisie comme luxe ultime
Finalement, vivant seul dans son appartement parisien, Bonnet trouve du plaisir dans sa solitude. « Au début, ça a été très difficile pour moi, mais maintenant, c’est super de vivre seul.
Être chez soi, pénard, seul, c’est un luxe, » conclut-il. Ces mots reflètent une paix retrouvée et une appréciation pour les moments de tranquillité loin des caméras.
