Géraldine Maillet, un visage qui a su évoluer avec le paysage médiatique français. De ses débuts en tant qu’actrice jusqu’à ses apparitions controversées en tant que chroniqueuse, elle a toujours su se réinventer.

Ce parcours atypique, marqué par des transitions de carrière audacieuses, dessine le portrait d’une femme qui ne cesse de surprendre et de s’affirmer dans un univers impitoyable.

Initialement, Géraldine Maillet aspire à une carrière d’actrice. Au début des années 90, elle apparaît dans le sitcom Premiers baisers, une production de Jean-François Porry sous l’égide d’AB Productions. Bien que son rôle soit limité à un seul épisode, cette expérience marque le commencement de son parcours dans le monde du spectacle.

Peu après, Géraldine Maillet s’éloigne des plateaux de tournage pour explorer le mannequinat, domaine dans lequel elle connaît un succès notable. Elle travaille avec des photographes de renom comme Juergen Teller et apparaît dans des magazines prestigieux tels que Vogue et ELLE. Son élégance et son charisme lui valent également le statut d’égérie pour la marque de luxe Nina Ricci.

Une nouvelle voie dans les médias

À l’aube du nouveau millénaire, Géraldine Maillet prend un tournant significatif en se consacrant à l’écriture. Son premier roman, Une rose pour Manhattan, est suivi par Presque Top Model, qui rencontre un franc succès. Cette réorientation vers la littérature montre sa capacité à se renouveler et à toucher un public diversifié.

Chroniqueuse influente

Depuis 2016, elle est présente régulièrement sur le plateau de Touche pas à mon poste !, animé par Cyril Hanouna. Elle y défend souvent les positions du gouvernement Macron, affirmant clairement ses opinions politiques. Ses interventions ne manquent pas de susciter des réactions, notamment en raison de ses critiques envers certains invités de l’émission.

Controverses et opinions tranchées

Récemment, lors d’une émission sur Europe 1, Géraldine Maillet a exprimé des opinions qui ont provoqué des débats houleux. Elle a remis en question l’efficacité des politiques de natalité en Europe, critiquant ouvertement les incitations fiscales destinées à encourager la natalité. Ses propos sur les familles nombreuses, où elle préconise un modèle de deux enfants par famille pour des raisons écologiques et économiques, illustrent son approche directe et souvent polarisante.