Gad Elmaleh, qui se dit « prêt à trouver l’amour », avoue qu’il est « sapiosexuel »
Gad Elmaleh, un pilier de l’humour français, revient sur les devants de la scène avec un tout nouveau spectacle nommé « Lui-même ».
Programmé pour tourner dans toute la France en 2025, il promet des escales dans des villes telles que Clermont-Ferrand, Dunkerque, Brest, et Aix-en-Provence.
Mais ce n’est pas tout : l’humoriste se lance également dans un projet ambitieux avec le rachat du mythique cabaret parisien Chez Michou, qu’il transforme en un comedy-club dynamique.
Un nouveau départ sur les planches et dans les affaires
Gad Elmaleh n’est pas seulement de retour sur scène ; il innove en investissant dans le patrimoine culturel parisien.
L’achat et la transformation du cabaret Chez Michou en comedy-club illustrent son désir de contribuer activement à la scène humoristique française.
Ce lieu, conçu pour être un espace de répétition pour ses spectacles, accueillera également de jeunes talents et proposera des soirées à thèmes, promettant de devenir un haut lieu du divertissement parisien.
Gad Elmaleh sur la sapiosexualité : un amour de l’esprit
Dans une révélation personnelle, Gad Elmaleh partage sa vision des relations et de l’attraction lors de son interview avec Paris Match, se déclarant sapiosexuel.
« L’humour et le raffinement spirituel me bouleversent », affirme-t-il, valorisant l’intelligence et l’esprit comme principales qualités attirantes.
Cette approche, qui privilégie la richesse intérieure sur l’apparence physique, offre un aperçu de ce qui stimule et inspire l’artiste dans ses interactions personnelles.
Définition et implications de la sapiosexualité
La sapiosexualité, terme encore absent du Larousse mais présent dans le Petit Robert 2025, désigne l’attirance pour l’intelligence et la culture plutôt que pour les attributs physiques.
Ce concept, qui n’est pas une orientation sexuelle mais une préférence, éclaire sur les valeurs que Gad valorise dans ses relations, soulignant une approche qui « part d’en haut, pas d’en bas », selon ses mots.
Un engagement pour la nuance dans un monde polarisé
Pour conclure son entretien, Gad Elmaleh aborde des thèmes plus larges comme le respect mutuel, la paix et la nécessité de nuance dans un monde souvent divisé.
« Je n’ai pas attendu #MeToo pour savoir ce qui était bien ou mal », explique-t-il, appelant à une réflexion plus mesurée et à moins de polarisation dans les débats publics, qu’ils concernent les relations interpersonnelles ou les conflits internationaux.