Essonne : disparue depuis vendredi après-midi, Louise, 11 ans, a été retrouvée m*rte dans un bois
Dans la nuit de vendredi à samedi, les espoirs de retrouver Louise, une collégienne de 11 ans disparue depuis l’après-midi précédent, se sont évanouis tragiquement.
Son corps a été découvert suite à des recherches intensives dans le bois des Templiers à Épinay-sur-Orge. Le procureur de la République, Grégoire Dulin, a annoncé l’ouverture d’une enquête pour meurtre sur mineur, confiée à la division de la criminalité organisée et spécialisée de Versailles.
L’alerte et les premières recherches
Vendredi, l’inquiétude s’empare de la famille de Louise et se propage rapidement sur les réseaux sociaux. La jeune fille a été vue pour la dernière fois vers 13h50, à la sortie de son collège, le collège André-Maurois. Ses parents, tous deux employés de l’Éducation nationale, signalent immédiatement sa disparition à la police, qui ouvre une enquête pour disparition inquiétante.
Les efforts de localisation
La vidéosurveillance joue un rôle clé dans les recherches, dirigeant les enquêteurs vers le parc des Templiers, proche du collège. Une battue est lancée, impliquant des chiens de la brigade cynophile, des drones et un hélicoptère. C’est finalement un chien pisteur qui marque un arrêt déterminant dans le parc, où le corps de Louise est retrouvé aux alentours de 2h30 du matin.
Les suites de l’enquête
Les détails entourant la mort de Louise restent flous, mais elle semble avoir été frappée par un objet tranchant à plusieurs reprises. Les enquêteurs continuent d’examiner les images de surveillance pour élucider les circonstances exactes de ce drame.
La mairie d’Épinay-sur-Orge exprime publiquement sa solidarité avec la famille de Louise, affirmant que tous les moyens possibles ont été déployés dès le signalement de la disparition. De plus, deux personnes ont été interpellées : un homme de 23 ans et sa compagne de 20 ans, tous deux habitant non loin du lieu de la découverte.
Leur arrestation suscite des réactions vives, notamment de la part des parents de la jeune femme, qui déplorent la diffusion de son nom sur les réseaux sociaux. Après un interrogatoire, le couple a été relâché, renforçant les interrogations autour de leur implication potentielle.